Planète Sauvage (Port-Saint-Père) :
Visite du 5 mai 2013
Planète Sauvage a beau se situer à une vingtaine de minutes de mon domicile, je n'y avais pas mis les pieds depuis près de 5 ans. Le tarif d'entrée excessif, l'arrivée des dauphins et la catastrophique partie pédestre, véritablement à l'abandon, m'avaient largement dissuader d'y retourner. Pourtant, profitant de la venue d'Antoine, nous décidons d'y retourner, pour la première fois depuis septembre 2008. Voici quelques changements notés depuis cette date, accompagnés de clichés effectués durant cette visite :
Dans la partie-safari, j'ai d'abord trouvé les effectifs d'herbivores relativement relativement réduits, à commencer par les rhinocéros blancs (seuls deux individus observés contre trois auparavant), les éléphants africains (trois individus observés, quatre auparavant), les hippopotames amphibies (deux individus observés – et pas de trace du bébé né en septembre 2012) et plus globalement l'ensemble des antilopes, le plus frappant étant chez les addax, qui n'étaient que quelques-uns dispersés dans la plaine alors que le groupe, comptant une dizaine de spécimens en 2008, était magnifique à observer.
Groupe d'addax en août 2007 & l'un des quelques individus aujourd'hui en mai 2013
Une nouvelle espèce a fait son apparition en 2011 dans le parc africain n°3, où vivent également les addax, les springbocks, les impalas, les cobs lechwes et les cobs à croissant. Il s'agit d'un couple de magnifiques hippotragues noirs, déjà accompagné d'un jeune.
Du côté des guépard, deux nouveaux individus, Samice (femelle de 2 ans) et Samec (mâle de 2 ans) nés chez un éleveur sud-africain, sont venus rejoindre Zef et Kasan, le couple du parc il y a quelques mois. Encore une fois, seuls deux animaux sur les quatre espérés étaient visibles...
Dans le parc nord-américain, les bighorns, espèce qui n'est plus présentée au parc, ont laissé place à des capybaras présentés en compagnie de deux ours baribals isolés du reste du groupe, formant une cohabitation pour le moins...originale.
Une espèce a quitté le parc asiatique, il s'agit de l'hydropote de Chine (transféré vers la partie pédestre, voir plus bas). Adossé à ce vaste enclos où vivent nilgauts, cerfs axis et yacks, l'espace d'hébergement insolite « le camp mongol », où les visiteurs ont l'opportunité de passer une nuit, a été largement agrandi et rénové, et muni d'une minuscule volière où l'on a pu apercevoir depuis notre véhicule quelques buses variables.
Enfin, parmi les dernières naissances à noter, citons, outre le bébé hippotrague, un jeune addax, un bébé sitatunga, des jeunes cerfs axis, plusieurs petits watussis et wallabys de Bennet, un bébé yack né le 25 avril ou encore un chamelon qui a vu le jour le 20 avril.
Jeunes sitatunga & cerf axis
Du côté de la partie pédestre, zone longtemps délaissée par le parc au profit de son safari-voitures, nous avons observé plusieurs changements à commencer par le départ des siamangs, leur île étant depuis simplement occupée par la colonie de flamants du lagon.
L'arrêt définitif du spectacle de rapaces a entraîné la disparition de nombreuses espèces d'oiseaux de proie, qui ont vu leurs volières apparemment devenir des lieux de quarantaine pour des espèces en instance d'arrivée ou de départ. Quelques aras, anciens pensionnaires du village de brousse, et un calao terrestre de Leabdetter, nouvelle espèce qui devrait prochainement intégrer le nouveau village de brousse, y étaient hébergés lors de notre visite.
Face aux cigognes blanches, un petit enclos a été créé pour accueillir des oies céréopses.
Du côté du « Parcours jungle », gigantesque espace forêstier de plusieurs hectares traversé par un pont-suspendu, la troupe de macaques rhésus (bien plus importante qu'auparavant, avec plusieurs dizaines d'individus observés) et les cochons vietnamiens ont été rejoints par les hydropotes de Chine auparavant hébergés dans le parc asiatique du safari-voitures.
A la sortie de cet espace, un petit enclos, presque invisible, a été créé pour une nouvelle espèce, le mara.
Cette visite était également pour moi l'occasion de découvrir pour la toute première fois les dauphins tursiops accueillis en 2009 dans la « Cité Marine », complexe aquatique de 10 millions de litres d'eau. Si je m'abstiendrais de parler du spectacle, j'ai été plutôt agréablement surpris par la rénovation de la vision sous-marine. En plus d'offrir aux visiteurs une superbe vue sub-aquatique sur les dauphins, elle a été munie d'un espace pédagogique relativement vaste et bien réalisé, avec des panneaux sur les mammifères marins et les individus hébergés au parc, une zone présentant les dangers de la pollution en mer et, depuis l'an dernier, un aquarium récifal de 12000 litres hébergeant quelques poissons coralliens.
Mais la grande nouveauté de cette année 2013, c'est bien évidemment la restructuration totale du « Village de brousse ». Son principe est simple ; inviter le public au cœur d'une reconstitution de village africain où les cases et les enclos accueillent des espèces aussi diverses que des coatis, des aras, des suricates, des loutres naines ou des ratons-laveurs. Cet espace, qui avait fait sensation à son ouverture, s'était délabré au fil des années au point de devenir lors de ma dernière visite une zone à l'abandon où les conditions de vie des animaux était presque inacceptables.
Vue de l'ancien village de brousse (photos prises en 2007) :
Cette année, Planète Sauvage a entrepris d'importants chantiers pour remettre en valeur cette zone. Ainsi, la quasi-intégralité des espèces présentées ici a été transféré vers d'autres parcs zoologiques et seules deux espèces africaines, le suricate et le porc-épic à crête, ont été conservées. De plus, si le principe du village africain a été maintenu, les cases n'abritent plus d'animaux mais constituent désormais des espaces pédagogiques ou des observatoires.
Dès son arrivée dans le tout nouveau « Village de Brousse », le visiteur est invité à s'engager sur une longue passerelle en bois qui longe sur sa droite un nouvel espace encore terreux, muni d'un bassin et de plantations. Il constitue le lieu de vie de trois espèces d'oiseaux aquatiques, l'ibis sacré, la grue couronnée noire et la demoiselle de Numidie.
Entrée du nouveau village de brousse
Passerelle en bois
Enclos des grues et des ibis
Ibis sacré (Threskiornis aethiopicus) & grue couronnée noire (Balearica pavonina)
A gauche de la passerelle, un vaste enclos naturel aménagé tout en longueur reste pour le moment inoccupé. S'agit-il du futur lieu de vie des calaos terrestres, observés dans les volières provisoires plus haut, des diks-diks de Kirk ou des pélicans blancs, deux espèces que le parc compte accueillir cette année, l'avenir nous le dira...
Enclos encore inoccupé
Cette passerelle en bois qui longe sur chacun de ses côtés ces deux enclos, encercle également un vaste espace central qui constitue maintenant la principale attraction du village de brousse. Aménagé sur l'emplacement des anciens chemins des visiteurs, il accueillie désormais en cohabitation les suricates et les porcs-épics qui disposent d'un environnement d'évolution quatre à cinq fois plus vaste qu'auparavant. Une couche de sable recouvre l'enclos tandis que des massifs rocheux et de jeunes plantations ont été mis à leur disposition. Les anciennes cases où étaient présentés les aras ont été fermées et intégrés à l'intérieur de cette espace, donnant l'impression que les animaux ont pris la place des visiteurs. Malgré le côté peu naturel de l'installation, il s'agit d'une amélioration considérable.
Descendu de la passerelle, le visiteur regagne la visite plus traditionnelle du village de brousse, exception faite aux cases qui ont là aussi été vidées de leur pensionnaires. L'une d'entre-elles a été transformée en petit espace pédagogique et présente les projets de conservation menés par le parc, une autre permet aux plus jeunes de s'essayer à la musique traditionnelle africaine tandis qu'une autre a été été rénovée en observatoire afin que le public puisse y pénétrer et découvrir les suricates et les porcs-épics depuis une baie vitrée. L'ancien enclos des loutres naines, situé à cet endroit, a été détruit et accueille aujourd'hui des moutons de Somalie.
Le nouveau village de Brousse se voulant un voyage à travers l'Afrique, du continent noir jusqu'à l'île de Madagascar, il se conclut par un espace de contact pour lémuriens, encore en travaux. A son ouverture, prévue pour le courant de l'été 2013, les visiteurs pourront pénétrer sur une île (aménagée à l'emplacement de l'ancien espace sud-américain des tapirs et des cabiais) peuplée de makis cattas, déjà arrivés au parc et hébergés dans les coulisses.
Dans les prochains mois, le village de brousse se poursuivra également par une seconde passerelle en bois qui longera les plaines des rhinocéros et des girafes du safari-voitures et permettra au public de revoir les grands herbivores, à pied cette fois.
Passé ce point-actualités, voici à présent quelques photographies des animaux du parc :
Rhinocéros blanc du Sud (Ceratotherium simum simum) :
Girafe du Cap (Giraffa camelopardalis giraffa) :
Bœuf watussi :
Cob à croissant (Kobus ellipsiprymnus ellipsiprymnus) :
Springbocks (Antidorcas marsupialis) :
Impalas (Aepyceros melampus) :
Nilgaut (Boselaphus tragocamelus) :
Cerf axis (Axis axis) :
Yack domestique :
Hippopotame amphibie (Hippopotamus amphibius) :
Ours baribal (Ursus americanus) :
Loup gris d'Europe (Canis lupus lupus) :
Crocodile du Nil (Crocodylus niloticus) :
Iguane vert (Iguana iguana) :
Flamant rouge de Cuba (Phoenicopterus ruber) :
Macaque rhésus (Macaca mulatta) :
Visite du 5 mai 2013
Planète Sauvage a beau se situer à une vingtaine de minutes de mon domicile, je n'y avais pas mis les pieds depuis près de 5 ans. Le tarif d'entrée excessif, l'arrivée des dauphins et la catastrophique partie pédestre, véritablement à l'abandon, m'avaient largement dissuader d'y retourner. Pourtant, profitant de la venue d'Antoine, nous décidons d'y retourner, pour la première fois depuis septembre 2008. Voici quelques changements notés depuis cette date, accompagnés de clichés effectués durant cette visite :
Dans la partie-safari, j'ai d'abord trouvé les effectifs d'herbivores relativement relativement réduits, à commencer par les rhinocéros blancs (seuls deux individus observés contre trois auparavant), les éléphants africains (trois individus observés, quatre auparavant), les hippopotames amphibies (deux individus observés – et pas de trace du bébé né en septembre 2012) et plus globalement l'ensemble des antilopes, le plus frappant étant chez les addax, qui n'étaient que quelques-uns dispersés dans la plaine alors que le groupe, comptant une dizaine de spécimens en 2008, était magnifique à observer.
Groupe d'addax en août 2007 & l'un des quelques individus aujourd'hui en mai 2013
Une nouvelle espèce a fait son apparition en 2011 dans le parc africain n°3, où vivent également les addax, les springbocks, les impalas, les cobs lechwes et les cobs à croissant. Il s'agit d'un couple de magnifiques hippotragues noirs, déjà accompagné d'un jeune.
Du côté des guépard, deux nouveaux individus, Samice (femelle de 2 ans) et Samec (mâle de 2 ans) nés chez un éleveur sud-africain, sont venus rejoindre Zef et Kasan, le couple du parc il y a quelques mois. Encore une fois, seuls deux animaux sur les quatre espérés étaient visibles...
Dans le parc nord-américain, les bighorns, espèce qui n'est plus présentée au parc, ont laissé place à des capybaras présentés en compagnie de deux ours baribals isolés du reste du groupe, formant une cohabitation pour le moins...originale.
Une espèce a quitté le parc asiatique, il s'agit de l'hydropote de Chine (transféré vers la partie pédestre, voir plus bas). Adossé à ce vaste enclos où vivent nilgauts, cerfs axis et yacks, l'espace d'hébergement insolite « le camp mongol », où les visiteurs ont l'opportunité de passer une nuit, a été largement agrandi et rénové, et muni d'une minuscule volière où l'on a pu apercevoir depuis notre véhicule quelques buses variables.
Enfin, parmi les dernières naissances à noter, citons, outre le bébé hippotrague, un jeune addax, un bébé sitatunga, des jeunes cerfs axis, plusieurs petits watussis et wallabys de Bennet, un bébé yack né le 25 avril ou encore un chamelon qui a vu le jour le 20 avril.
Jeunes sitatunga & cerf axis
Du côté de la partie pédestre, zone longtemps délaissée par le parc au profit de son safari-voitures, nous avons observé plusieurs changements à commencer par le départ des siamangs, leur île étant depuis simplement occupée par la colonie de flamants du lagon.
L'arrêt définitif du spectacle de rapaces a entraîné la disparition de nombreuses espèces d'oiseaux de proie, qui ont vu leurs volières apparemment devenir des lieux de quarantaine pour des espèces en instance d'arrivée ou de départ. Quelques aras, anciens pensionnaires du village de brousse, et un calao terrestre de Leabdetter, nouvelle espèce qui devrait prochainement intégrer le nouveau village de brousse, y étaient hébergés lors de notre visite.
Face aux cigognes blanches, un petit enclos a été créé pour accueillir des oies céréopses.
Du côté du « Parcours jungle », gigantesque espace forêstier de plusieurs hectares traversé par un pont-suspendu, la troupe de macaques rhésus (bien plus importante qu'auparavant, avec plusieurs dizaines d'individus observés) et les cochons vietnamiens ont été rejoints par les hydropotes de Chine auparavant hébergés dans le parc asiatique du safari-voitures.
A la sortie de cet espace, un petit enclos, presque invisible, a été créé pour une nouvelle espèce, le mara.
Cette visite était également pour moi l'occasion de découvrir pour la toute première fois les dauphins tursiops accueillis en 2009 dans la « Cité Marine », complexe aquatique de 10 millions de litres d'eau. Si je m'abstiendrais de parler du spectacle, j'ai été plutôt agréablement surpris par la rénovation de la vision sous-marine. En plus d'offrir aux visiteurs une superbe vue sub-aquatique sur les dauphins, elle a été munie d'un espace pédagogique relativement vaste et bien réalisé, avec des panneaux sur les mammifères marins et les individus hébergés au parc, une zone présentant les dangers de la pollution en mer et, depuis l'an dernier, un aquarium récifal de 12000 litres hébergeant quelques poissons coralliens.
Mais la grande nouveauté de cette année 2013, c'est bien évidemment la restructuration totale du « Village de brousse ». Son principe est simple ; inviter le public au cœur d'une reconstitution de village africain où les cases et les enclos accueillent des espèces aussi diverses que des coatis, des aras, des suricates, des loutres naines ou des ratons-laveurs. Cet espace, qui avait fait sensation à son ouverture, s'était délabré au fil des années au point de devenir lors de ma dernière visite une zone à l'abandon où les conditions de vie des animaux était presque inacceptables.
Vue de l'ancien village de brousse (photos prises en 2007) :
Cette année, Planète Sauvage a entrepris d'importants chantiers pour remettre en valeur cette zone. Ainsi, la quasi-intégralité des espèces présentées ici a été transféré vers d'autres parcs zoologiques et seules deux espèces africaines, le suricate et le porc-épic à crête, ont été conservées. De plus, si le principe du village africain a été maintenu, les cases n'abritent plus d'animaux mais constituent désormais des espaces pédagogiques ou des observatoires.
Dès son arrivée dans le tout nouveau « Village de Brousse », le visiteur est invité à s'engager sur une longue passerelle en bois qui longe sur sa droite un nouvel espace encore terreux, muni d'un bassin et de plantations. Il constitue le lieu de vie de trois espèces d'oiseaux aquatiques, l'ibis sacré, la grue couronnée noire et la demoiselle de Numidie.
Entrée du nouveau village de brousse
Passerelle en bois
Enclos des grues et des ibis
Ibis sacré (Threskiornis aethiopicus) & grue couronnée noire (Balearica pavonina)
A gauche de la passerelle, un vaste enclos naturel aménagé tout en longueur reste pour le moment inoccupé. S'agit-il du futur lieu de vie des calaos terrestres, observés dans les volières provisoires plus haut, des diks-diks de Kirk ou des pélicans blancs, deux espèces que le parc compte accueillir cette année, l'avenir nous le dira...
Enclos encore inoccupé
Cette passerelle en bois qui longe sur chacun de ses côtés ces deux enclos, encercle également un vaste espace central qui constitue maintenant la principale attraction du village de brousse. Aménagé sur l'emplacement des anciens chemins des visiteurs, il accueillie désormais en cohabitation les suricates et les porcs-épics qui disposent d'un environnement d'évolution quatre à cinq fois plus vaste qu'auparavant. Une couche de sable recouvre l'enclos tandis que des massifs rocheux et de jeunes plantations ont été mis à leur disposition. Les anciennes cases où étaient présentés les aras ont été fermées et intégrés à l'intérieur de cette espace, donnant l'impression que les animaux ont pris la place des visiteurs. Malgré le côté peu naturel de l'installation, il s'agit d'une amélioration considérable.
Descendu de la passerelle, le visiteur regagne la visite plus traditionnelle du village de brousse, exception faite aux cases qui ont là aussi été vidées de leur pensionnaires. L'une d'entre-elles a été transformée en petit espace pédagogique et présente les projets de conservation menés par le parc, une autre permet aux plus jeunes de s'essayer à la musique traditionnelle africaine tandis qu'une autre a été été rénovée en observatoire afin que le public puisse y pénétrer et découvrir les suricates et les porcs-épics depuis une baie vitrée. L'ancien enclos des loutres naines, situé à cet endroit, a été détruit et accueille aujourd'hui des moutons de Somalie.
Le nouveau village de Brousse se voulant un voyage à travers l'Afrique, du continent noir jusqu'à l'île de Madagascar, il se conclut par un espace de contact pour lémuriens, encore en travaux. A son ouverture, prévue pour le courant de l'été 2013, les visiteurs pourront pénétrer sur une île (aménagée à l'emplacement de l'ancien espace sud-américain des tapirs et des cabiais) peuplée de makis cattas, déjà arrivés au parc et hébergés dans les coulisses.
Dans les prochains mois, le village de brousse se poursuivra également par une seconde passerelle en bois qui longera les plaines des rhinocéros et des girafes du safari-voitures et permettra au public de revoir les grands herbivores, à pied cette fois.
Passé ce point-actualités, voici à présent quelques photographies des animaux du parc :
Rhinocéros blanc du Sud (Ceratotherium simum simum) :
Girafe du Cap (Giraffa camelopardalis giraffa) :
Bœuf watussi :
Cob à croissant (Kobus ellipsiprymnus ellipsiprymnus) :
Springbocks (Antidorcas marsupialis) :
Impalas (Aepyceros melampus) :
Nilgaut (Boselaphus tragocamelus) :
Cerf axis (Axis axis) :
Yack domestique :
Hippopotame amphibie (Hippopotamus amphibius) :
Ours baribal (Ursus americanus) :
Loup gris d'Europe (Canis lupus lupus) :
Crocodile du Nil (Crocodylus niloticus) :
Iguane vert (Iguana iguana) :
Flamant rouge de Cuba (Phoenicopterus ruber) :
Macaque rhésus (Macaca mulatta) :