Zoo de Bâle 2016

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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Elouan » Mardi 11 Octobre 2016 19:05

Merci pour ces photos! :D
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Therabu » Mercredi 12 Octobre 2016 11:29

Merci l'addax !
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Clemsy67 » Mercredi 12 Octobre 2016 16:16

Merci addax pour ces photos et ce compte-rendu ;)
Malheureusement si Bâle ouvre encore en 2016 (2017?) une installation pour éléphants c'est que les choses ne sont pas prêts de changer ...
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Mercredi 12 Octobre 2016 18:52

Merci Addax !
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Jeudi 03 Novembre 2016 6:28

Un petit hippopotame est né au zoo de Bâle la semaine dernière

Un heureux événement a marqué la semaine dernière au zoo de Bâle. Helvetia, femelle hippopotame de 25 ans, a mis bas un petit dans la nuit du 24 au 25 octobre 2016. Le sexe du nouveau-né n'est pas encore connu.


Les visiteurs pourront découvrir le nouveau ou la nouvelle pensionnaire dans quelques semaines à l'occasion des nombreux bains qu'il/elle prendra en famille, avec sa mère et son père Wilhelm, âgé de 23 ans. Il s'agit du onzième petit du couple, précise le zoo mercredi.

La dernière naissance d'un hippopotame dans le parc bâlois date de 2013. Le petit avait alors été placé dans un zoo français quelques mois plus tard.

Image
Source : ats (photo zoo de Bâle).
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar okapi » Jeudi 03 Novembre 2016 9:27

C'est vraiment étrange, non? Bâle suggérait de supprimer son dernier hippopotame sous prétexte qu'il était impossible de le garder et de le placer... Celui-ci finira t'il dans l'enclos des lions, comme c'était prévu pour le précédent?
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Mercredi 09 Novembre 2016 11:51

Parades chez les hippopotames à gros ventre

En ce moment, les visiteurs matinaux peuvent assister à un spectacle particulier au zoo de Bâle: les hippocampes à gros ventre d’Australie (et dans leur cas, le nom est présage) s’accouplent à l’aurore dans le vivarium de l’Aquarium 45. Les «danses» de ces amoureux marins sont impressionnantes : les mâles font la parade en gonflant leur ventre pour impressionner les femelles.

Depuis quelques semaines, au zoo de Bâle, les parades nuptiales se multiplient chez les hippocampes australiens à gros ventre. Avec un peu de chance, les visiteurs du vivarium peuvent observer ce spectacle s’ils s’y rendent tôt le matin. Les hippocampes mâles, ou étalons marins, gonflent leur ventre dans le but d’attirer l’attention de leur entourage, à tel point qu’ils ressemblent à des ballons flottant dans l’eau. Ils gravitent autour des femelles en jetant leur tête en arrière. Ces dernières se laissent uniquement séduire par cette parade si le ventre du prétendant est très imposant. Plus il est gros, plus il pourra contenir d'œufs, ce qui rend l’étalon encore plus attirant.

Chez les hippocampes, les mâles donnent naissance

Lorsqu’un couple se forme, les amoureux s’enlacent avec leurs queues préhensiles et ondulent dans l’eau, ventre contre ventre. La femelle pond ensuite près de 200 œufs dans la poche ventrale du mâle, où ils sont immédiatement fécondés. Puis, la femelle s’en va et confie la gestation au mâle. Celui-ci garde les œufs pendant quelques semaines dans la poche ventrale, où ils peuvent se développer tranquillement. Un tissu nutritif fortement irrigué se forme autour de chaque œuf, leur apportant ainsi l’oxygène nécessaire. Lorsque les embryons sont entièrement développés, ils quittent leur enveloppe à l’intérieur de la poche ventrale. Peu après, le mâle «accouche» de 150 à 200 petits hippocampes au rythme de terribles crampes abdominales.

Longue expérience en matière d’élevage au zoo de Bâle

Il faudra attendre encore quelques semaines avant la naissance des petits. Depuis de nombreuses années déjà, le zoo de Bâle élève avec succès de jeunes animaux, en particulier grâce au tact exceptionnel des soigneurs. En effet, les bébés hippocampes sont connus pour être extrêmement difficiles: ils ne mangent que du plancton vivant, dont l’élevage en vivarium génère beaucoup de travail.

En janvier 2016, vingt hippocampes à gros ventre sont arrivés au zoo de Bâle, et en avril déjà, les premiers bébés voyaient le jour. Puisque le dernier «troupeau» d’hippocampes descendait encore des animaux offerts au zoo de Bâle en 1997 par l’Aquarium de Wilhelma, à Stuttgart, il était temps d’introduire un peu de sang neuf.

Actuellement, 18 jeunes hippocampes nés au printemps et huit adultes de précédents élevages vivent dans l’Aquarium 45. Parmi eux, quelques mâles ont le ventre gonflé.

Image
Source : zoo de Bâle.
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar guirosama » Mercredi 09 Novembre 2016 12:39

hippo à gros ventre ? c'est trop mignon
Heureusement que le journaliste/pigiste se rattrape après ! :lol:
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Mercredi 09 Novembre 2016 15:07

Ah, la correction automatique :wink: !
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Mercredi 16 Novembre 2016 19:50

Naissance d'un petit koudou au zoo de Bâle

La température extérieure étant trop basse, le jeune animal est confiné à l'intérieur du pavillon des antilopes.

Le zoo de Bâle annonce la naissance de Namib, un petit koudou. Cela ne fait que quelques mois que Cony, sa mère, avait rejoint le troupeau rhénan, en compagnie d'une autre antilope.

La mère devait déjà être enceinte lors de son arrivée, indique mercredi 16 novembre 2016 le zoo de Bâle dans un communiqué. Namib est né samedi 29 octobre. La température extérieure étant trop basse, le jeune animal est confiné à l'intérieur du pavillon des antilopes, tout comme le jeune okapi Nuru, né le 1er octobre.

La naissance de Namib est un succès pour le zoo, qui s'est fixé comme objectif d'encourager la reproduction des petits koudous. Cela faisait quatre ans qu'il n'y avait plus eu de naissance de cette espèce à Bâle. C'est pour cette raison que deux femelles avaient rejoint le troupeau en juillet. L'an dernier, un mâle était arrivé d'Amérique, afin d'apporter un peu de sang neuf.

Le troupeau bâlois comprend désormais six antilopes: un mâle, quatre femelles et le jeune Namib. En Europe, seuls quatorze zoos accueillent des petits koudous, pour un effectif total de quelque 80 animaux.

Les petits koudous, dont le territoire s'étend de l'Afrique de l'Est à la Tanzanie et jusqu'à l'Erythrée, sont devenus rares, écrit le zoo de Bâle. L'espèce est menacée par les braconniers, les chasseurs et la perte d'habitat.

Image

Namib est né le 29 octobre et sa naissance est un succès pour le zoo, qui s'est fixé comme objectif d'encourager la reproduction des petits koudous.
Source : La Tribune de Genève.
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Dimanche 18 Décembre 2016 14:37

Le maki noir et blanc : une nouvelle espèce de primates au zoo de Bâle

Deux makis mâles se sont installés sur la nouvelle île de l’étang du restaurant. Le zoo de Bâle commence ainsi l’élevage de cette espèce dans le cadre du soutien apporté au programme d’élevage de conservation (EEP).

Le 9 novembre 2016, deux makis mâles se sont installés sur une île récemment aménagée au zoo de Bâle. Les deux animaux se connaissent déjà bien puisqu’ils ont vécu ensemble au Safaripark de Beeksebergen (Pays-Bas). Le vendredi 9 décembre, ils ont pour la première fois exploré l’espace extérieur de leur île et «marqué» leur territoire à force de cris, et cela jusqu’au toit du pavillon. Le cri du maki noir et blanc est très impressionnant. Ce hurlement puissant et sauvage se décline en diverses variations d’aboiements, de cris, de grondements, de mugissements et de grincements. Ces vocalisations favorisent vraisemblablement la cohésion du groupe et permettent de «marquer» le territoire.

Si les deux mâles n’ont eu qu’un accès ponctuel à l’espace extérieur pendant leur phase d’adaptation, ils peuvent aujourd’hui y évoluer à leur convenance. Une femelle dotée de gènes étrangers devrait un jour se joindre à eux.
Le zoo de Bâle espère des naissances qui viendront enrichir le programme EEP. Les makis noir et blanc sont fortement menacés. Le programme d’élevage et de conservation (EEP) devrait permettre de maintenir en captivité une population saine de ces lémuriens désormais rares. Parallèlement, et toujours dans le cadre du programme EEP, des efforts sont déployés avec entre autres la collaboration des autorités de Madagascar afin de protéger cette espèce de primates dans son habitat naturel.

Des lémuriens rares au cri puissant

Les makis mâles Protos (12 ans) et Ifat (16 ans) appartiennent à la sous-espèce des makis à ceinture blanche. Leur pelage noir est typiquement ceinturé d’une bande blanche à la taille. Les makis à ceinture blanche sont originaires du nord-est de Madagascar et sont en voie de disparition, à l’instar de toutes les sous-espèces de makis noir et blanc. Outre la chasse, ils sont victimes de la perte de leur habitat utilisé par l’homme pour l’agriculture. Les makis noir et blanc se nourrissent quasi exclusivement de fruits mûrs et ne peuvent donc vivre que dans de grandes forêts préservées. Leur alimentation est si sélective que ces lémuriens seraient particulièrement vulnérables dans un habitat fragmenté ou en perte de superficie. Les makis noir et blanc pèsent jusqu’à trois ou quatre kilos et comptent donc parmi les plus grands lémuriens. Ils sont diurnes, ce qui les expose particulièrement aux chasseurs.

Un nid pour les petits

Les makis vivent en couple ou en groupes, au sein desquels mâles comme femelles peuvent être en surreprésentation. Cette espèce de primates est la seule à construire un nid pour accueillir son petit. Contrairement aux autres espèces de singes, les petits conservent le nid pendant leurs deux à trois premières semaines de vie avant d’accompagner leur mère à la recherche de nourriture. Les makis ont deux à cinq portées par an alors que les autres espèces de primates en ont généralement une ou deux.

À l’état sauvage, les makis aiment vivre dans des forêts peuplées d’arbres hauts et âgés dans lesquels ils trouvent leur nourriture. Ils sont très agiles quand il s’agit d’attraper des fruits mûrs sur les branches les plus éloignées. Si nécessaire, ils sont aussi très à l’aise tête en bas, suspendus par leurs pattes arrière.

Au zoo, ils reçoivent néanmoins peu de fruits, car l’apport en nutriments des fruits sauvages qu’ils consomment dans la nature avoisine celui de nos légumes locaux. En outre, nos fruits (cultivés) sont très riches en sucre et en fibres, ce qui ne convient pas aux makis.

Du changement dans l’architecture paysagère

Au zoo de Bâle, les makis résident sur une petite île. Cette île accueillant la maison des makis est l’un des derniers projets de l’architecte-paysagiste Rainer Zulauf pour le zoo de Bâle.
Rainer Zulauf, qui était responsable depuis plus de 10 ans de l’architecture paysagère du zoo de Bâle travaille désormais à son compte au sein du Studio Vulkan. Parmi les principaux projets développés par Rainer Zulauf au zoo de Bâle, nous pouvons citer les installations dédiées aux rhinocéros, aux grands singes et aux éléphants, ainsi que le restaurant du zoo.
Chargé du projet de planification générale encore en cours, il a aussi élaboré le programme d’entretien des espaces végétaux ainsi qu’un cadastre des arbres et participé aux projets visant à protéger le zoo des renards et des crus du Birsig.Dans le cadre de son activité d’architecte-paysagiste pour le zoo, il adapta aussi les enclos des hippopotames et des manchots du Cap.

Rainer Zulauf a co-fondé la société Schweingruber Zulauf Landschaftsarchitekten Zürich, aujourd’hui baptisée Studio Vulkan. Rainer Zulauf sera remplacé par le bureau Maurus Schifferli Landschaftsarchitekt en janvier 2017. Le bureau a été choisi parmi une liste de 29 architectes-paysagistes. Au terme d’un long processus de sélection, une planification test fut demandée à trois bureaux.
Le bureau Maurus Schifferli remporta la mise grâce à son enthousiasme pour le zoo de Bâle, sa créativité, sa force d’innovation et son excellente collaboration avec l’équipe du zoo. Le bureau est détenu par Maurus Schifferli et dirigé par Felix Hug.
Rainer Zulauf continue à travailler sur ses mandats en cours, tel que l’espace des éléphants «Tembea» qui ouvrira ses portes au public le 16 mars 2017 et Maurus Schifferli travaille déjà sur les premiers nouveaux projets.

Image
Source : zoo de Bâle.
Le vari noir et blanc (Varecia variegata) et la sous-espèce à ceinture blanche (V. v. subcincta) sont classés en danger critique d'extinction par l'UICN.
Sauf erreur de ma part, l'EEP du vari noir et blanc est géré par le Knuthenborg Park and Safari, au Danemark. En revanche, celui du maki vari à ceinture blanche a été confié au parc zoologique de Paris et sa responsabilité incombe actuellement à Delphine Roullet.
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Philippe » Mercredi 21 Décembre 2016 9:57

Le zoo de Bâle s'implique dans l'élevage des mainates

Deux mainates viennent d’emménager dans le pavillon des oiseaux. Autrefois fréquents, ces oiseaux étaient pendant des décennies connus comme des «oiseaux de chambre bavards». Leur population étant désormais en déclin dans la nature, le zoo de Bâle a décidé d’en accueillir à nouveau et de prendre part à un programme d’élevage et de conservation.

Le Zoo de Bâle abritait déjà des mainates des années 1950 aux années 1990. De nombreux visiteurs du zoo gardent l’un d’eux parmi leurs souvenirs d’enfance, tant ses capacités à s’exprimer les avaient impressionnés. Sa voix aux intonations si humaines raisonnait de manière époustouflante dans tout le pavillon des oiseaux. Il était devenu la star incontournable des sorties familiales au zoo de Bâle.

Les deux mainates occupent désormais la volière des toucans, qui ont quant à eux rejoint les momotidés. Ils recevront bientôt la compagnie des paddas de Java. Il est néanmoins peu probable qu’ils apprennent à parler. Seuls les mainates solitaires en sont capables.

Les mainates appartiennent à la famille des sturnidés, réputés curieux, hardis et agiles. Il est possible d’admirer l’évolution habile, et au besoin parfaitement acrobatique, des deux individus du zoo de Bâle dans les branchages. Il existe de nombreux types de mainates. Les résidents du zoo de Bâle sont des mainates religieux (Gracula religiosa). En Asie du Sud-Est, d’où ils viennent, leur capacité à parler et leur chant les desservent surtout. Capturés pour être vendus à des particuliers, ils voient leur population diminuer de jour en jour. La destruction croissante des forêts est aussi un fléau pour eux.

En Europe, près de 30 zoos accueillent des mainates et il existe un programme d’élevage auquel le zoo de Bâle souhaite aujourd’hui participer. Il est fort à parier que les deux mainates s’entendent à la perfection, certains affirmant les avoir vus «roucouler» avec passion. Tout porte donc à espérer qu’une descendance soit bientôt annoncée.

Image
Source : zoo de Bâle.
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Wilfried » Mercredi 21 Décembre 2016 11:20

guirosama a écrit:L'oiseau jaune et vert : un tisserin ?


Non, il s'agit d'un passereau originaire d'Amérique, bien connu des éleveurs de becs droits des années 1970/80 : un petit chanteur de Cuba, ou Sporophile petit chanteur, Tiaris canorus..
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar Vinch » Mercredi 21 Décembre 2016 11:48

Wilfried a écrit:
guirosama a écrit:L'oiseau jaune et vert : un tisserin ?


Non, il s'agit d'un passereau originaire d'Amérique, bien connu des éleveurs de becs droits des années 1970/80 : un petit chanteur de Cuba, ou Sporophile petit chanteur, Tiaris canorus..

Toujours connu actuellement, on le trouve encore de temps en temps en animalerie. Il est élevé et reproduit par une poignée d'éleveurs passionnés et il y a même quelques mutations, moins belles cependant que la forme sauvage.

Mais je vois aussi que d'autres oiseaux n'ont pas encore été identifiés dans le compte-rendu d'Addax:
Image
Cet oiseau devant le Roulroul est un merle Shama (Copsychus malabaricus), probablement une femelle, sinon un juvénile.

Image
Tangara à Tête Baie (Tangara gyrola)
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Re: Zoo de Bâle 2016

Messagepar addax » Mercredi 21 Décembre 2016 17:42

Merci pour les identifications d'oiseaux!!
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