Créations

[Alexis]

Bonjour,

dans mes projets (que vous verrez très prochainement), j'ai essayé de faire gaffe avec les cohabitations pour ne pas faire des associations "contre nature". Par exemple, le Grand-duc est un ennemi mortel du Faucon pèlerin, ils ne vont jamais cohabiter sur une même falaise à l'état sauvage.
Idem pour les hybridations (très courantes chez les faucons mais aussi les canards, sarcelles, faisans... il faut y faire très attention lorsque l'on veut les élever, surtout s'il y a des espèces rares ou menacées dans le lot).

Alexis

[Alexis]

Bonjour à toutes et à tous,

après une éclipse le temps de dessiner, de scanner et de mettre en ligne les plans de mes diverses installations, je vous propose la première étape de visite de mon zoo "imaginaire". Chaque jour ou presque, j'essaierai de mettre en ligne un nouveau plan avec une légende.
A la fin de la visite, je ferai un sondage pour voir quelles sont vos installations préférées pour l'agencement des enclos, les espèces (animales voire végétales) présentées, l'intérêt en termes de sensibilisation à la protection de la nature et de l'environnement, etc... Vos installations préférées seront incluses dans un plan général pour un parc d'environ 20 ha (imaginaire bien sûr).
Mais revenons à notre visite pour le moment.

La première étape est bien entendu la Vallée des rapaces.
J'ai quelque peu modifié le plan pour tenir compte des observations que vous m'aviez déjà formulées.

http://img706.imageshack.us/img706/4130/vallerapaces.jpg

La première volière fait 37,5 mètres carrés de superficie et 2,5 mètres de haut, et elle peut être divisée en 3 modules en fonction des reproductions, etc... Elle présente en cohabitation des Chevêches d'Athéna (ou Chouettes chevêches) et des Lièvres communs.

La grande volière de contact (agrandie à 2 100 mètres carrés, et 12 mètres de haut) y fait directement suite.
Elle est basée sur une thématique balkanique.
Le grillage est constitué de filins métalliques, tendus au-dessus de barres rocheuses naturelles, dans une ancienne carrière.
Un ou deux grands arbres (par exemple Pin noir Pinus nigra ou Pin de Bosnie Pinus heldreichii) et des perchoirs permettent aux oiseaux de se poser ; sinon le sol est constitué d'herbe rase et de rochers, avec quelques buissons et un petit plan d'eau. Quelques espèces buissonnantes (Genévrier sabine Juniperus sabina) et herbacées (ex. : Petite Scabieuse de Macédoine Knautia macedonica, Achillée de Clavena Achillea clavenae, Centaurée de Trionfetti Centaurea triumfetti, etc...) seraient typiques de la région balkanique ou, plus largement, méditerranéenne. Les espèces à fleurs seraient présentées dans une rocaille et mises à l'écart du sentier de visite (comme dans un jardin botanique classique).
La collection botanique est à moduler en fonction du climat, préférer des espèces méditerranéennes si l'on est dans le Midi voire l'Ouest, des espèces continentales et montagnardes si l'on est dans l'Est ou le Centre. Je laisse à plus calé que moi le soin d'aménager les détails de la collection botanique
Le sol comprend un dénivelé, le sentier circulant dans un creux avec des pentes sur les côtés.
Au centre, une aire de nourrissage est aménagée, avec quelques bancs de pierre pour que les visiteurs puissent l'observer (l'accès est condamné par une chaînette métallique hors des heures de nourrissage, pour éviter qu'ils mangent leur pique-nique ou qu'ils y déposent des déchets non-comestibles pour les oiseaux).
Les oiseaux ont à leur disposition des grottes et abris creusés dans le roc de la falaise. Le sentier n'emprunte pas la partie Sud-Ouest de la volière, qui leur est laissée.

A la sortie de la grande volière, le visiteur retrouve quatre plus petites volières de 35 à 40 mètres carrés de superficie, et 4 mètres de hauteur chacune.
Elles sont dédiées à des rapaces nocturnes, qui ont à leur disposition des arbres, des perchoirs, et des caches aménagées dans la falaise ou dans des bâtiments. De nombreux arbres et arbustes les entourent, pour améliorer la quiétude des oiseaux et ombrager davantage les volières. Pourraient être plantées diverses espèces typiques des forêts tempérées d'Europe : Cormier Sorbus domestica, Alisier torminal Sorbus torminalis, Nerprun purgatif Rhamnus cathartica, etc...).

La vallée des rapaces se poursuit avec les quatre volières dédiées aux aigles et autres grandes espèces prédatrices, qui ne peuvent cohabiter avec les espèces de la grande volière, pour des raisons bien senties de sécurité des visiteurs et des autres oiseaux. Ces volières ont une surface de 120 à 130 mètres carrés et une hauteur de 6 mètres ; leur grillage est fait de filins métalliques. Elles comprennent quelques arbres et des espaces découverts, ainsi que des perchoirs, et parfois une petite mare pour certaines espèces.
Le fond des volières est garni d'enrochements (naturels de préférence, sinon artificiels, servant de lieu de repos et de nidification aux rapaces).

Le visiteur peut alors atteindre le deuxième espace de mon zoo (à suivre).

Alexis

PROPOSITIONS D'ESPECES

1- "Petites" volières pour chouettes et lièvres :
Chevêche d'Athéna (0.0.6)
Lièvre commun (0.0.2)

2- Volière de contact "Les Ailes des Balkans" :
Vautour moine (2.2)
Vautour fauve (2.2)
Percnoptère d'Egypte (0.0.2)
Gypaète barbu (1.1)
Milan noir (1.1)
Circaète Jean-le-Blanc (1.1)
Buse féroce (0.0.2)
Buse variable (0.0.2)

3- Volières pour grands rapaces nocturnes :
Chouette de l'Oural (1.1)
Hibou moyen-duc (0.0.3)
Grand-duc d'Europe (1.1)
Une volière est dédiée aux jeunes des trois espèces précédentes.

4- Volières pour aigles et alliés :
Pygargue à queue blanche (1.1)
Aigle botté (1.1)
Aigle impérial (1.1)
Une volière est dédiée aux jeunes des trois espèces précédentes.

[maxime]

L'ensemble est intéressant et la collection bien complète mais les pygargues à queue blanche ne me semblent pas trop à leur place ici...Présentée aux côtés d'espèces majoritaitement des milieux secs ou montagnards, cette espèce humide me semble un peu "un intrus" ?
Il serait alors plus intéressant de leur offrir, à la fin de la visite, une vaste volière recréant un paysage côtier ou marécageux pour montrer la différence de biotope plutôt que de les "mélanger" aux bottés et aux impériaux...
Bonne chance également d'ailleurs pour trouver des aigles bottés, ils sont déjà assez rares en captivité et leur reproduction n'est pas des mieux maîtrisées...
Vivement la suite !

[Alexis]

L'ensemble est intéressant et la collection bien complète mais les pygargues à queue blanche ne me semblent pas trop à leur place ici...Présentée aux côtés d'espèces majoritaitement des milieux secs ou montagnards, cette espèce humide me semble un peu "un intrus" ?

Faux, le Pygargue à queue blanche passe pour un oiseau "du Nord" parce qu'il y a été relégué sous l'effet de la pression humaine.
Rappelons-nous que, dans les années 50, l'espèce nichait encore en Corse. Et il niche encore en Grèce, Bulgarie, Serbie-Monténégro, voir ici la fiche de répartition en Europe :
http://www.birdlife.org/datazone/specie ... Sp3364.pdf

Bonne soirée ,

Alexis

[maxime]

Selon oiseaux.net, "Espèce liée aux milieux aquatiques (côtes maritimes, grandes rivières, lacs, etc...), soit à l'intérieur des terres, soit au bord de mer". ?

[Alexis]

Maxime,

j'ai écrit un peu trop vite, ton idée de les rajouter dans un espace consacré aux zones humides vaut tout à fait le coup.
J'en prends note, quitte à remplacer les Pygargues par des Aigles royaux, tout aussi intéressants.

Alexis

[Simon38]

Projet très intéréssant, j'attends la suite.

[Alexis]

Bonsoir,

le projet "Vallée des Rapaces" peut être considéré comme achevé, mis à part une légère modification dans la liste d'espèces, comme suit :

1- "Petites" volières pour chouettes et lièvres :
Chevêche d'Athéna (0.0.6)
Lièvre commun (0.0.2)

2- Volière de contact "Les Ailes des Balkans" :
Vautour moine (2.2)
Vautour fauve (2.2)
Percnoptère d'Egypte (0.0.2)
Gypaète barbu (1.1)
Milan noir (1.1)
Circaète Jean-le-Blanc (1.1)
Buse féroce (0.0.2)
Buse variable (0.0.2)

3- Volières pour grands rapaces nocturnes :
Chouette de l'Oural (1.1)
Hibou moyen-duc (0.0.3)
Grand-duc d'Europe (1.1)
Une volière est dédiée aux jeunes des trois espèces précédentes.

4- Volières pour aigles et alliés :
Aigle royal (0.0.1 à 0.0.2)
Aigle botté (1.1)
Aigle impérial (1.1)
Une volière est dédiée aux jeunes des trois espèces précédentes.

Maintenant, chose promise, chose due, place à l'étape suivante...

Après avoir quitté la vallée des rapaces, le visiteur aperçoit plusieurs enclos boisés, destinés à la faune forestière d'Europe.

http://img709.imageshack.us/i/plaineeuropenne.jpg/

Un premier enclos de taille assez petite (200 m2) accueille une troupe de Sangliers d'Eurasie, il est fait de terre battue, agrémenté d'une mare boueuse, mais aussi de troncs d'arbres, et comprend une butte sèche et ensoleillée. Deux ou trois arbres (protégés par des caoutchoucs) procurent de l'ombre aux animaux.
Un cabanon simple sert d'abri à ces animaux résistants.
A l'arrière, un enclos de taille équivalente, inaccessible au public peut servir de cache ou d'enclos d'isolement (les animaux sont soustraits du regard des visiteurs par une palissade).
Les Sangliers ont aussi un accès à l'enclos suivant, qui est...
beaucoup plus vaste (4.000 m2), formé d'un vaste espace avec de vieux arbres, un sol herbeux, une mare et une clairière.
Cet espace présente plusieurs grandes espèces d'ongulés forestiers (Bison, Tarpan, Cerf, etc...) en cohabitation ; ces espèces sont représentatives de la faune qui peuplait toute l’Europe il y a quelques siècles, et qui peuvent encore se rencontrer dans des forêts protégées comme celle de Bialowieza en Pologne.
Deux étables de 40 m2 chacune sont mises en place pour les équidés et bisons, les cervidés d'un abri simple. Un enclos d'isolement de 450, et un autre de 700 mètres carrés peuvent accueillir des individus dans certaines circonstances (rut, femelles avec nouveaux-nés...).
Les visiteurs peuvent mieux observer les animaux depuis une tour surélevée.

Le long des allées, le visiteur peut découvrir les principales espèces d’arbres des forêts tempérées d’Europe (Chêne pédonculé Quercus robur, Hêtre Fagus sylvatica, Charme Carpinus betulus, etc…).

Une fois qu’il a dépassé cette zone, le visiteur s'approche ensuite des sections suivantes du parc (à suivre)

Alexis

PROPOSITIONS D'ESPECES

Sanglier d'Eurasie (1.3)
Cerf élaphe (2.10)
Bison d'Europe (1.2)
Tarpan "reconstitué" / Konik polski (1.3)

[pazero]

Quel est l'interet du tarpan?

[Alexis]

Bonsoir,

Le Tarpan est l'ancêtre des chevaux domestiques (au moins les races européennes), il s'est éteint au 19ème siècle, la Pologne et la Russie furent ses ultimes refuges. Le "Konik polski" est une race de cheval créée à partir de quelques-uns des derniers sujets de Tarpans ; très rustique, il a été réintroduit à l'état semi-sauvage dans des réserves de Pologne mais aussi en Europe de l'Ouest (Pays-Bas, Lorraine...).

Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tarpan
http://fr.wikipedia.org/wiki/Konik_Polski

Il est intéressant à présenter aux côtés du Bison car il est représentatif d'une grande faune disparue ou qui a failli disparaître (rappelons que, au début du 20ème siècle, le Bison d'Europe a failli subir le sort funeste du Tarpan s'il n'avait été sauvé par les zoos).

J'avais aussi pensé à ajouter des Daims ou Chevreuils à l'enclos (pour présenter aussi des espèces qui sont restées communes à travers l'Europe) mais étant donné qu'il y a déjà les Cerfs, je me suis dit que ce n'était pas la peine de les ajouter (en plus, le Chevreuil vit solitaire, et il est ultra-territorial en période de reproduction, il doit impérativement être éloigné de ses congénères et des autres animaux à ce moment-là, à moins d'avoir 1 ha de terrain sous la main rien que pour eux, donc le jeu n'en vaut vraiment pas la chandelle ).

Alexis

[Alexis]

Sur le côté de l’enclos des Sangliers, une petite mare (100 m2) accueille des amphibiens sauvages (tritons, salamandres, grenouilles...), elle est entourée d'une vaste friche naturelle de 1.000 m2. En bordure de mare, une roselière permet à quelques oiseaux (Poule d'eau, Canard colvert, Rousserolle effarvatte, Pouillot véloce, Fauvette à tête noire, Phragmite des joncs...) de stationner et de nicher.
La friche permet la nidification de la Fauvette grisette, du Tarier pâtre, du Bruant des roseaux, etc... Elle est plantée d'arbustes comme l'Aubépine Craetagus laevigata, le Sureau noir Sambucus nigra, le Viorne obier Viburnum opulus... et de fleurs comme la Centaurée noire Centaurea nigra, le Cosmos Cosmos bipinnatus, le Lin vivace Linum perenne, etc...
Divers équipements sont mis en place : nichoirs à oiseaux, abris pour insectes, pour hérissons, ruches, etc...
L'ensemble permet d'accueillir des jardiniers, des employés municipaux, des associations etc... pour des stages de sensibilisation à la protection de la biodiversité en milieu urbain et semi-urbain.

L’on arrive alors sur un petit espace formé de 6 terrariums à ciel ouvert, de 4 m2 chacun, qui présente, dans un décor de rocaille, diverses espèces de tortues, tritons, lézards et serpents non-venimeux européens.
Les terrariums sont équipés d’un abri pour les périodes les plus chaudes et quelques-uns comportent un petit point d’eau. Les reptiles peuvent se loger dans des galeries pendant les mois d’hiver. Les terrariums sont délimités par des parois vitrées ; des filins empêchent la pénétration des chats, oiseaux et visiteurs indélicats ; le soubassement des terrariums est bétonné, pour éviter l’intrusion des rongeurs.

A l'arrière des terrariums, est planté dans un terrain en pente un jardin de type alpin (de type Jardin des Plantes, si l'on est dans l'Est ou le Nord de la France : l'on y trouve le Chardon bleu des Alpes Eryngium alpinum, la Silène du Valais Silena vallesia, la Gentiane des Alpes dinariques Gentiana dinarica...) ou méditerranéen (comme on trouve à l'Ecomusée de la Gaude, près de Nice ; si l'on est dans le Midi : l'on y trouvera alors l'Olivier Olea europaea, le Myrte commun Myrtus communis, l'Euphorbe characias Euphorbia characias...).

Derrière les terrariums, un petit étang de 18 m2, bordé d’une zone marécageuse et sableuse de 10 m2, est le lieu de vie d’été de tortues aquatiques.
Leur enclos, ensoleillé, est surmonté de filets (contre les prédateurs) ; un rondin est placé au centre de l’étang. Les tortues sont retirées du plan d’eau pendant les mois d’hiver (novembre à avril).

Le plan de l'ensemble de l'installation :
http://img16.imageshack.us/i/jardinco.jpg/

Le visiteur peut alors se diriger vers l’installation suivante (à suivre...).

Alexis

PROPOSITIONS D’ESPECES

Terrariums :
1- Lézard ocellé (1.1)
2- Jeunes reptiles (lézards ou couleuvres)
3- Lézard vert (1.1)
4- Couleuvre à collier (0.0.2)
5- Couleuvre vipérine (0.0.2)
6- Triton crêté (0.0.20)

Bassin aux Cistudes :
Cistude d’Europe (7.7)
Clemmyde lépreuse (0.0.3)

[Alexis]

Un espace intéressant poursuit la visite : il est dédié aux mammifères carnivores de l’Eurasie tempérée.

Le plan ici :
http://img532.imageshack.us/i/carnivoreseur.jpg/

Il débute par un enclos pour Visons d’Europe, espèce extrêmement menacée, encore présente dans le Sud-Ouest de la France et en Espagne, un peu plus fréquente en Europe de l'Est ; cet enclos est formé de trois modules, avec un enclos principal de 20 mètres carrés (visible du public), et deux annexes de 6 mètres carrés chacune, non visibles du public. Les enclos sont tous largement végétalisés et pourvus de nichoirs, souches d’arbres et roches ; le sol est fait de graviers. L’enclos principal est équipé d’un petit plan d’eau avec une cascade et une zone boueuse.
Le soubassement des enclos est fait de béton pour empêcher les évasions des animaux et les enclos sont couverts d’un grillage solide, installé à 2 mètres de haut.

Face à l’enclos des visons, un parc est conçu pour des Blaireaux communs : il est formé d’une fosse au sol terreux et herbeux de 120 mètres carrés, avec un terrier et des rochers dans lesquels les animaux peuvent se cacher.

La visite se poursuit avec des enclos dédiés aux félins des forêts européennes, de part et d’autre d’un bâtiment en bois : d’une superficie de 100 mètres carrés et d’une hauteur de 3 mètres, ils sont dédiés aux Chats sauvages et aux Lynx. Le public peut voir les félins à travers de hautes baies vitrées ; les autres côtés des enclos sont grillagés. Les enclos sont plantés d’arbres et arbustes, et comprennent des zones pierreuses ; les félins ont la possibilité de se cacher dans des souches d’arbres et des « nichoirs » (chats sauvages) ou dans des cabanes de bois (lynx).
Chaque enclos peut être séparé en deux pour l’élevage des petits de l’une ou de l’autre espèce.

La visite se poursuit avec un parc dédié aux Ours bruns ; cet enclos vallonné, de 2.000 m2, peut accueillir un groupe non-reproducteur, notamment des spécimens récupérés dans des cirques ou des petits zoos. Il accueille aussi un groupe non-reproducteur de Renards roux.
Les Ours peuvent grimper sur de nombreux arbres ; ils ont aussi un abri rocheux, des arbres creux où se cacher, et un plan d'eau de 20 m2 proche du sentier de visite. Le sol est couvert d'herbe.
Le sentier est surélevé de 3 m par rapport à l'enclos des Ours qu'il contourne, pour éviter les contacts avec les visiteurs.

La section dédiée à la grande faune européenne s'achève par un grand enclos pour Loups (1.000 m2).
Il en présente un petit groupe non-reproducteur, vivant dans un parc abondamment boisé, de sorte que leur observation peut être difficile.
J’ai pensé à présenter des Gloutons à côté ou à la place des Loups, mais je ne suis pas sûr que ces animaux subarctiques tolèrent bien le climat français (sauf peut-être à la montagne ou dans l’Est, quelqu’un pourrait peut-être me renseigner là-dessus…).

A suivre...

Alexis

Proposition d’espèces :
1- Vison d’Europe (1.1 + jeunes)
2- Blaireau européen (1.1 + jeunes)
3- Chat sauvage européen (1.1 + jeunes)
4- Lynx commun (1.1 + jeunes)
5- Ours brun (0.0.2 à 0.0.4)
Renard roux (0.0.6)
6- Loup d’Europe (0.0.4) ou Glouton (1.1)

[pazero]

Comment tu fais pour "+ jeunes"? S'ils ne se reproduisent pas.

[Alexis]

Bonsoir, pazero,

1.1 signifie "1 couple".
"+ jeunes" signifie qu'il y a possibilité d'accueillir le(s) jeune(s) du couple.
Chez certaines espèces, il y a aussi la nécessité de séparer les sexes pendant l'élevage des petits, ou même pendant la quasi-totalité de l'année. Ce peut être le cas chez les félins (ex. : Lynx et Chat sauvage).

Inversement, des enclos peuvent être dédiés à des non-reproducteurs ; pour accueillir deux ou plusieurs animaux de même sexe, ou encore pour des animaux âgés cédés par des éleveurs privés, d'autres zoos voire des cirques.
Exemples sur mon plan : les Ours et Renards (la cohabitation entre plusieurs individus de chaque serait peut-être trop dangereuse si l'une ou l'autre des espèces se reproduisait).

Alexis

[Simon38]

Je suis actuellement entrain de préparer de nouvelles créations pour ranimer ce post qui stagne depuis plusieurs mois.