Thibaut a écrit:Ce n'est pas de la mutilation mais je ne trouvais pas le mot adéquate. C'est la démarche d'aller modifier quelque chose sur l'animal afin de le présenter au public qui me dérange.
Tu pourrais par contre parler de “mutilation psychologique”. Ça trouverait tout son sens si la taille des défenses influe sur le psychisme du porteur et lui permet de maintenir une bonne place dans la hiérarchie d’un groupe.
À employer avec des pincettes, cependant, car c’est en réalité bien plus complexe qu’on ne le pense.