Nouveautés 2019 à Pairi Daiza

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Les Tamarin pinchés Taryk et Dolores ont déménagé ! Ils sont toujours à l'Oasis mais ils résident désormais sur l'île centrale

vous remarquerez dans le fond que les enclos des colibris sont désormais sous un tunnel avec cascade, il y aura peut être moins de reflet, et les tatous sont donc juste au dessus de nos têtes à cet endroit.

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Le plan du parc est en ligne sur le site officiel, et les loups gris et ours bruns ont changé de place avec les ours noirs et loups noirs ( par rapport au plan des nouveautés )
Pas d'autres nouveautés annoncées sur le plan valable jusqu'au 30 juin.

[candlemass]

Le parc annonce des bébés takins dorés sur le plan.

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Le parc annonce des bébés takins dorés sur le plan.

Exact, je ne l'avais pas relevé et ça n'a pas encore été annoncé.

Pas d'infos sur le Centre de repro qui est dessiné sur le plan
on en parle dans un article sur levif.be

En 2018, Pairi Daiza a consacré 3 millions d'euros à des projets de conservation. "Ce budget sera dépassé en 2019: il est déjà atteint aujourd'hui avec la construction du Centre de Reproduction des Oiseaux Rares au coeur du Jardin des Mondes."

https://weekend.levif.be/lifestyle/voya ... 16659.html

[candlemass]

Tout s'ouvrira en cours de saison.

Par contre les noms des mondes sont en anglais. Je trouve ca dommage. Les appelations 2018 invitaient plus au voyage.

L'appellation Wilderness semble avoir disparu et la terre du froid a fait son retour

[Saintstof]

La nurserie est de retour à son lieu initial

Le centre de reproduction sera pour Ara de Spix, calaos et paradisiers.

[candlemass]

La nurserie est de retour à son lieu initial

Le centre de reproduction sera pour Ara de Spix, calaos et paradisiers.

Les amazones n'y seront pas inclus??

[WILD M. NL]

Maintenant nous voyons aussi des marmottes surgir quelque part pendant le séjour des lions de mer de Steller

[Philippe]

Ours polaires à Pairi Daiza : Éric Domb réagit à froid !

Le fondateur du parc Pairi Daiza déplore les idées fausses véhiculées par le collectif interdit de manifester.

À 48 h de la réouverture de Pairi Daiza, son fondateur a tenu à réagir à la polémique concernant l’arrivée prochaine d’ours polaires au cœur du parc. Pour rappel, celle-ci est alimentée par diverses associations de protection animale qui entendaient profiter de la réouverture du parc ce samedi pour protester et distribuer des tracts aux premiers visiteurs.

Leurs représentants ont finalement renoncé après avoir essuyé un refus de manifester de la part du bourgmestre de Brugelette, lequel craignait des débordements après avoir reçu une demande de contre-manifestants favorables à Pairi Daiza.

" Ce collectif anti-zoos s’attaque à notre parc en véhiculant un tas de préjugés et d’idées fausses. En les démontant, on se rend compte que leurs arguments sont totalement absurdes et très éloignés de la réalité ", déplore Éric Domb.

Ce dernier précise d’abord que les ours polaires appelés à rejoindre Pairi Daiza sont nés dans un autre jardin zoologique et qu’ils ne proviennent pas de la banquise après avoir été capturés.

" L’espace qui va leur être réservé sera probablement le plus extraordinaire au monde aménagé au sein d’un zoo. Comme ils sont nés en captivité et ne peuvent donc être réintroduits dans la nature, ils ne peuvent être accueillis que dans un endroit protégé par des humains tel que le nôtre. Avec les prix qui viennent encore de nous être décernés, je pense pouvoir dire que Pairi Daiza est le candidat idéal pour leur offrir des conditions de vie optimales ", poursuit Éric Domb.

Et notre interlocuteur d’ironiser sur le fait que ses détracteurs préféreraient que Pairi Daiza crée au pôle nord un sanctuaire de jeunes ours polaires sevrés.

" Il faudrait des moyens colossaux que nous n’avons pas pour financer un tel projet qui, de surcroît, n’aurait aucun sens. L’an dernier, le parc a consacré trois millions d’euros dans des programmes internationaux de conservation et investira encore davantage en 2019 en faveur de la préservation de la faune et de la flore. Sans une partie des recettes de nos visiteurs, rien de tout cela ne serait possible. "

Le collectif anti-ours estime que de tels animaux ne sont pas faits pour vivre dans des zoos en prétextant qu’ils ont besoin de vastes territoires pour chasser.

" Considérer que la distance parcourue par un animal conditionne son bien-être, c’est raconter n’importe quoi. Si les ours polaires doivent parfois effectuer autant de kilomètres, ce n’est pas par plaisir mais d’abord pour trouver de quoi se nourrir. Certains mensonges sont redoutables et peuvent paraître crédibles auprès du grand public qui n’est pas toujours correctement informé ", insiste Éric Domb.

Source : La Dernière Heure.

[Saintstof]

Les amazones n'y seront pas inclus??

Les amazones sont déjà dans un bâtiment d'élevage mais comme ces oiseaux sont propriétés de La Dominique et qu'il n'est pas prévu d'en présenter, du moins pour le moment, voilà pourquoi ils ne sont pas dans ce projet. Mais qui sait... ^^

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Maintenant nous voyons aussi des marmottes surgir quelque part pendant le séjour des lions de mer de Steller

Les marmottes sur le plan, ce sont échappé dans la rue de la crampe... les riverains vont encore être content..

Vu le chantier actuel, ils ne savent pas encore ou ils vont les mettre

[snockot]

" L’espace qui va leur être réservé sera probablement le plus extraordinaire au monde aménagé au sein d’un zoo. "

Rien que ça ! Quand on voit les installation du Cerza ou celles de pays nordiques, il va y avoir du boulot...

[Saintstof]

Disons que ça rejoint un peu le débat tenu plus haut. Si on parle en terme de superficie, il est évident que ce sera dans ce qui se fait dans la majorité des parcs hébergeant les plantigrades blancs. Si on parle d'aménagement, de moyens mis en place pour une diversité du territoire et des moyens mis en place pour les occuper au mieux, on sera un poil au dessus du reste, ou de pratiquement tout le reste.

Après c'est vrai que allier les deux aurait été plus intéressant. Uniquement mettre les ours, morses et manchots me semblait plus juste.

[okapi]

Il faut juste s'entendre sur le sens du mot "extraordinaire": s'il s'agit de développer un espace dans l'esprit de celui d'Hanovre par exemple, avec un travail sur le "décor" et une dimension spectaculaire, j'imagine que l'enclos de Pairi Daiza va répondre à pas mal de critères. L'enclos du Cerza est grand, mais il n'est pas "beau" au sens où un visiteur peu averti va l'entendre. La cascade rectiligne n'arrange pas les choses et pour le reste, c'est un pré à vaches soigneusement délimité avec une cage de nuit plutôt disgracieuse érigée dans un coin. Du point de vue des ours, j'imagine que ces détails ont peu d'importance! Evidemment, Saint-Félicien au Canada ou des parcs nordiques jouent dans une autre dimension en s'appropriant un fragment de nature déjà très évocateur, mais c'est compliqué de rivaliser avec de tels atouts de départ. Pairi Daiza va offrir un espace conforme à celui d'un "zoo", entre La Flèche, Mulhouse, Central Park, Hambourg ou Hanovre: un lieu très scénographié, très construit, très loin de la nature réelle, mais très impressionnant du point de vue d'un visiteur innocent. En fait, Pairi Daiza ressemble de plus en plus à un album d'images, un "pop up" grandeur nature, où les visiteurs sont invités à entrer...

[abonnepdz]

" L’espace qui va leur être réservé sera probablement le plus extraordinaire au monde aménagé au sein d’un zoo. "

Rien que ça ! Quand on voit les installation du Cerza ou celles de pays nordiques, il va y avoir du boulot...

Vu le chantier, ça va être énorme, à voir samedi depuis le haut de la pyramide de ganesha


Sinon nos collègues flamands sur laafsekikker parlent aussi de Babiroussa...
à suivre

Extrait de la lettre aux abonnés qui est en train d'être diffusée :

Centre de reproduction des espèces d'oiseaux rares
Depuis la création du parc, les oiseaux jouent un rôle important dans notre identité. Le
Jardin des Mondes accueille actuellement des milliers d'oiseaux du monde entier.
En 2019, Pairi Daiza veut aller plus loin en construisant un centre de reproduction des
espèces d'oiseaux rares dans le parc. Trois millions d'euros sont investis dans ce projet.
Ce sont des installations ultramodernes sur une superficie de 700 mètres carrés.
Ce centre sera entièrement consacré à la reproduction des aras de Spix, des calaos, des oiseaux de paradis et de nombreuses autres espèces menacées.