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seaseb - Messages: 190
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redshark - Messages: 77
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nico - Messages: 3821
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- chenapan
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Mort vraisemblablement accidentelle de l'ourse slovène Palouma
Alors que le plan de réintroduction de cinq ours slovènes dans les Pyrénées françaises vient de s'achever avec le lâcher de Sarousse mardi, le corps de Palouma, le premier arrivé des plantigrades a été découvert, »visiblement mort accidentellement», vendredi soir dans les Hautes-Pyrénées.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) par des randonneurs ayant vu la dépouille »en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé» près de Loudenvielle, a expliqué une porte-parole du ministère de l'Ecologie et du développement durable.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma qui avait été évacué par hélicoptère vers Garin, un village haut-garonnais situé dans une vallée proche du lieu de la découverte.
Le corps présente »des fractures aux différents membres arrière et avant», a indiqué à l'AFP Frédéric Decaluve, membre de l'équipe de suivi de l'ours, qui avait repéré la trace de l'animal, le jour même de son décès, après avoir été sans nouvelles de lui depuis le 16 août.
»Sans une autopsie, nous ne pouvons pas nous prononcer précisément sur les causes de la mort», a-t-il ajouté. Celle-ci devrait être effectuée à l'école nationale vétérinaire de Toulouse, où l'animal a été transféré samedi en fin de journée, a-t-on indiqué auprès du ministère de l'Ecologie.
Palouma, dont le corps a été découvert au pied d'une barre rocheuse dominant le lac de Caillaouas, près de Loudenvielle, avait été le premier ours récupéré en Slovénie et libéré le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne).
Agée de 4 ans et pesant 83 kg, l'ourse, dont le nom avait été choisi en référence au massif de Paloumère où elle devait être libérée, avait pour parrain et marraine les chanteurs Renaud et Romane.
Ce lâcher, prévu initialement à Arbas, sur le territoire duquel ont été depuis libérés les femelles Hvala et Sarousse ainsi que le mâle Balou, avait dû intervenir à Burgalays en raison de manifestations d'opposants à la réintroduction d'ours slovènes dans les Pyrénées.
»Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur», a déclaré à l'AFP Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
Pour cet éleveur, »les pouvoirs publics, par méconnaissance, ont envoyé cet animal au +casse-pipe et sont responsables». »Si l'ours avait été tué par un opposant, il y aurait eu un tollé et on aurait recherché les responsables», a-t-il poursuivi. »Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens», a conclu M. Lessieux.
Le plan de restauration et de conservation de l'ours brun dans les Pyrénées françaises 2006-2009 décidé par la ministre de l'Ecologie Nelly Olin, qui a ramené de 30 à 5 le chiffre initial de plantigrades réintroduits, a depuis le printemps suscité de vives réactions. Les partisans de l'ours comme les opposants ont pendant plusieurs semaines multiplié les manifestations en Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées.
Mort vraisemblablement accidentelle de l'ourse slovène Palouma
Alors que le plan de réintroduction de cinq ours slovènes dans les Pyrénées françaises vient de s'achever avec le lâcher de Sarousse mardi, le corps de Palouma, le premier arrivé des plantigrades a été découvert, »visiblement mort accidentellement», vendredi soir dans les Hautes-Pyrénées.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) par des randonneurs ayant vu la dépouille »en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé» près de Loudenvielle, a expliqué une porte-parole du ministère de l'Ecologie et du développement durable.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma qui avait été évacué par hélicoptère vers Garin, un village haut-garonnais situé dans une vallée proche du lieu de la découverte.
Le corps présente »des fractures aux différents membres arrière et avant», a indiqué à l'AFP Frédéric Decaluve, membre de l'équipe de suivi de l'ours, qui avait repéré la trace de l'animal, le jour même de son décès, après avoir été sans nouvelles de lui depuis le 16 août.
»Sans une autopsie, nous ne pouvons pas nous prononcer précisément sur les causes de la mort», a-t-il ajouté. Celle-ci devrait être effectuée à l'école nationale vétérinaire de Toulouse, où l'animal a été transféré samedi en fin de journée, a-t-on indiqué auprès du ministère de l'Ecologie.
Palouma, dont le corps a été découvert au pied d'une barre rocheuse dominant le lac de Caillaouas, près de Loudenvielle, avait été le premier ours récupéré en Slovénie et libéré le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne).
Agée de 4 ans et pesant 83 kg, l'ourse, dont le nom avait été choisi en référence au massif de Paloumère où elle devait être libérée, avait pour parrain et marraine les chanteurs Renaud et Romane.
Ce lâcher, prévu initialement à Arbas, sur le territoire duquel ont été depuis libérés les femelles Hvala et Sarousse ainsi que le mâle Balou, avait dû intervenir à Burgalays en raison de manifestations d'opposants à la réintroduction d'ours slovènes dans les Pyrénées.
»Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur», a déclaré à l'AFP Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
Pour cet éleveur, »les pouvoirs publics, par méconnaissance, ont envoyé cet animal au +casse-pipe et sont responsables». »Si l'ours avait été tué par un opposant, il y aurait eu un tollé et on aurait recherché les responsables», a-t-il poursuivi. »Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens», a conclu M. Lessieux.
Le plan de restauration et de conservation de l'ours brun dans les Pyrénées françaises 2006-2009 décidé par la ministre de l'Ecologie Nelly Olin, qui a ramené de 30 à 5 le chiffre initial de plantigrades réintroduits, a depuis le printemps suscité de vives réactions. Les partisans de l'ours comme les opposants ont pendant plusieurs semaines multiplié les manifestations en Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées.
Souce : TAGEBLATT . édition du 27-08-2006 .
Alors que le plan de réintroduction de cinq ours slovènes dans les Pyrénées françaises vient de s'achever avec le lâcher de Sarousse mardi, le corps de Palouma, le premier arrivé des plantigrades a été découvert, »visiblement mort accidentellement», vendredi soir dans les Hautes-Pyrénées.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) par des randonneurs ayant vu la dépouille »en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé» près de Loudenvielle, a expliqué une porte-parole du ministère de l'Ecologie et du développement durable.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma qui avait été évacué par hélicoptère vers Garin, un village haut-garonnais situé dans une vallée proche du lieu de la découverte.
Le corps présente »des fractures aux différents membres arrière et avant», a indiqué à l'AFP Frédéric Decaluve, membre de l'équipe de suivi de l'ours, qui avait repéré la trace de l'animal, le jour même de son décès, après avoir été sans nouvelles de lui depuis le 16 août.
»Sans une autopsie, nous ne pouvons pas nous prononcer précisément sur les causes de la mort», a-t-il ajouté. Celle-ci devrait être effectuée à l'école nationale vétérinaire de Toulouse, où l'animal a été transféré samedi en fin de journée, a-t-on indiqué auprès du ministère de l'Ecologie.
Palouma, dont le corps a été découvert au pied d'une barre rocheuse dominant le lac de Caillaouas, près de Loudenvielle, avait été le premier ours récupéré en Slovénie et libéré le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne).
Agée de 4 ans et pesant 83 kg, l'ourse, dont le nom avait été choisi en référence au massif de Paloumère où elle devait être libérée, avait pour parrain et marraine les chanteurs Renaud et Romane.
Ce lâcher, prévu initialement à Arbas, sur le territoire duquel ont été depuis libérés les femelles Hvala et Sarousse ainsi que le mâle Balou, avait dû intervenir à Burgalays en raison de manifestations d'opposants à la réintroduction d'ours slovènes dans les Pyrénées.
»Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur», a déclaré à l'AFP Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
Pour cet éleveur, »les pouvoirs publics, par méconnaissance, ont envoyé cet animal au +casse-pipe et sont responsables». »Si l'ours avait été tué par un opposant, il y aurait eu un tollé et on aurait recherché les responsables», a-t-il poursuivi. »Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens», a conclu M. Lessieux.
Le plan de restauration et de conservation de l'ours brun dans les Pyrénées françaises 2006-2009 décidé par la ministre de l'Ecologie Nelly Olin, qui a ramené de 30 à 5 le chiffre initial de plantigrades réintroduits, a depuis le printemps suscité de vives réactions. Les partisans de l'ours comme les opposants ont pendant plusieurs semaines multiplié les manifestations en Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées.
Mort vraisemblablement accidentelle de l'ourse slovène Palouma
Alors que le plan de réintroduction de cinq ours slovènes dans les Pyrénées françaises vient de s'achever avec le lâcher de Sarousse mardi, le corps de Palouma, le premier arrivé des plantigrades a été découvert, »visiblement mort accidentellement», vendredi soir dans les Hautes-Pyrénées.
La découverte a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) par des randonneurs ayant vu la dépouille »en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé» près de Loudenvielle, a expliqué une porte-parole du ministère de l'Ecologie et du développement durable.
L'équipe du suivi de l'ours a aussitôt été chargée d'effectuer les premières constatations sur le corps de Palouma qui avait été évacué par hélicoptère vers Garin, un village haut-garonnais situé dans une vallée proche du lieu de la découverte.
Le corps présente »des fractures aux différents membres arrière et avant», a indiqué à l'AFP Frédéric Decaluve, membre de l'équipe de suivi de l'ours, qui avait repéré la trace de l'animal, le jour même de son décès, après avoir été sans nouvelles de lui depuis le 16 août.
»Sans une autopsie, nous ne pouvons pas nous prononcer précisément sur les causes de la mort», a-t-il ajouté. Celle-ci devrait être effectuée à l'école nationale vétérinaire de Toulouse, où l'animal a été transféré samedi en fin de journée, a-t-on indiqué auprès du ministère de l'Ecologie.
Palouma, dont le corps a été découvert au pied d'une barre rocheuse dominant le lac de Caillaouas, près de Loudenvielle, avait été le premier ours récupéré en Slovénie et libéré le 25 avril dernier sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne).
Agée de 4 ans et pesant 83 kg, l'ourse, dont le nom avait été choisi en référence au massif de Paloumère où elle devait être libérée, avait pour parrain et marraine les chanteurs Renaud et Romane.
Ce lâcher, prévu initialement à Arbas, sur le territoire duquel ont été depuis libérés les femelles Hvala et Sarousse ainsi que le mâle Balou, avait dû intervenir à Burgalays en raison de manifestations d'opposants à la réintroduction d'ours slovènes dans les Pyrénées.
»Si l'hypothèse de la mort accidentelle est la bonne, cela confirme que la présence de l'ours slovène, peu adapté à nos altitudes pyrénéennes, est une erreur», a déclaré à l'AFP Stéphane Lessieux, un des porte-parole de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées (Aspap).
Pour cet éleveur, »les pouvoirs publics, par méconnaissance, ont envoyé cet animal au +casse-pipe et sont responsables». »Si l'ours avait été tué par un opposant, il y aurait eu un tollé et on aurait recherché les responsables», a-t-il poursuivi. »Faire venir des ours slovènes au nom de l'écologie et de la biodiversité est une erreur et un non-sens», a conclu M. Lessieux.
Le plan de restauration et de conservation de l'ours brun dans les Pyrénées françaises 2006-2009 décidé par la ministre de l'Ecologie Nelly Olin, qui a ramené de 30 à 5 le chiffre initial de plantigrades réintroduits, a depuis le printemps suscité de vives réactions. Les partisans de l'ours comme les opposants ont pendant plusieurs semaines multiplié les manifestations en Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées.
Souce : TAGEBLATT . édition du 27-08-2006 .
- didier
- Messages: 15735
- Enregistré le: Samedi 13 Août 2005 10:28
- Localisation: charenton-le-pont
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