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Parc Zoologique de Paris 2017
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Déjà, c'est "des rhinocéros blancs" , ensuite, si tu avais été mieux renseigné(e), tu aurais su que c'est pareil. D'ailleurs, dans l'ancien zoo, sur leur panneau il était indiqué "Rhinocéros de Burchell". Une même espèce peut avoir plusieurs noms vernaculaires tout à fait valables !
Modifié en dernier par gibbon le Dimanche 05 Novembre 2017 21:55, modifié 1 fois.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
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gibbon - Messages: 2632
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Oui enfin tant qu'à faire, autant se servir de ceux que tout le monde connait et utilise.
- Antoine6259
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Non, on utilise la formule que l'on préfère, du moment qu'elle désigne la bonne espèce ! Et je trouve que c'est toujours intéressant et enrichissant de connaître les différents noms se rapportant à une même espèce.
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gibbon - Messages: 2632
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
De Burchell parce que le naturaliste britannique William John Burchell a été le premier à décrire l'espèce, en 1817. Il l'avait alors appelé Rhinoceros simus Burchell, 1817.
C'était la première apoellation de l'espèce. Comme elle était très éloignée des espèces asiatiques du même genre Rhinocéros mais décrites auparavant, le zoologiste John Edward Gray lui a attribué le nom de genre Ceratotherium en 1868. Il y a eu bien d'autres appellations scientifiques qui ont été proposées mais finalement toutes invalidées. Le nom de genre du Rhinocéros Noir Diceros avait même été proposé par Ellerlann en 1953, parce que phylogénétiquement parlant, les deux espèces sint très proches et d'hybrident parfois.
Aujourd'hui, le Rhinocéros blanc porte le nom scientifique Ceratotherium simum (Burchell, 1817).
Le nom français Rhinocéros de Burchell est tout à fait acceptable mais les grandes commissions zoologistes n'en normalisent qu'une à titre international, et c'est Rhinocéros Blanc dans la langue française.
C'était la première apoellation de l'espèce. Comme elle était très éloignée des espèces asiatiques du même genre Rhinocéros mais décrites auparavant, le zoologiste John Edward Gray lui a attribué le nom de genre Ceratotherium en 1868. Il y a eu bien d'autres appellations scientifiques qui ont été proposées mais finalement toutes invalidées. Le nom de genre du Rhinocéros Noir Diceros avait même été proposé par Ellerlann en 1953, parce que phylogénétiquement parlant, les deux espèces sint très proches et d'hybrident parfois.
Aujourd'hui, le Rhinocéros blanc porte le nom scientifique Ceratotherium simum (Burchell, 1817).
Le nom français Rhinocéros de Burchell est tout à fait acceptable mais les grandes commissions zoologistes n'en normalisent qu'une à titre international, et c'est Rhinocéros Blanc dans la langue française.
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Vinch - Messages: 6081
- Enregistré le: Jeudi 22 Octobre 2009 19:49
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Et vu qu'une seule appellation peut être normalisée, il faut bien faire un choix, mais cela ne signifie pas que celle qui a été choisie est plus correcte que les autres.
De la même manière, l'espèce dont le nom scientifique est Tapirus indicus (Desmarest, 1819) peut être nommée en français : Tapir à chabraque, Tapir à dos blanc, Tapir malais, Tapir de Malaisie, Tapir indien, Tapir de l'Inde,... Tous ces noms sont parfaitement valables.
Ou encore, Bucorvus leadbeateri (synonyme : Bucorvus cafer) (Vigors, 1825) qui peut être appelé, au choix : Calao de Cafrerie, Bucorve du Sud, Calao de Leadbeater, Calao terrestre de Leadbeater, Calao terrestre du Sud, Grand Calao terrestre.
J'emploie toujours, pour ces deux espèces, respectivement "Tapir à chabraque" et "Calao de Cafrerie", mais tous ces noms sont équivalents !
De la même manière, l'espèce dont le nom scientifique est Tapirus indicus (Desmarest, 1819) peut être nommée en français : Tapir à chabraque, Tapir à dos blanc, Tapir malais, Tapir de Malaisie, Tapir indien, Tapir de l'Inde,... Tous ces noms sont parfaitement valables.
Ou encore, Bucorvus leadbeateri (synonyme : Bucorvus cafer) (Vigors, 1825) qui peut être appelé, au choix : Calao de Cafrerie, Bucorve du Sud, Calao de Leadbeater, Calao terrestre de Leadbeater, Calao terrestre du Sud, Grand Calao terrestre.
J'emploie toujours, pour ces deux espèces, respectivement "Tapir à chabraque" et "Calao de Cafrerie", mais tous ces noms sont équivalents !
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gibbon - Messages: 2632
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
J'ai visité le parc en milieu de semaine dernière. Les otaries étaient dans leur petit bassin car il y a un aménagement dans leur grand bassin : une structure flottante rectangulaire de couleur beige, assez inesthétique, est amarrée contre la berge du côté gauche du bassin. Les pécaris du Chaco étaient visibles en train de fouiller le sol, au fond de leur enclos. Il y a 3 makis vari à ceinture : 2 dans l'ancienne volière extérieure des chauves-souris, et 1 dans la volière voisine.
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gibbon - Messages: 2632
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Nouvelle visite hier. Les Pécaris du Chaco ne se cantonnent plus au fond de leur enclos et s'approchent de l'allée du public. Ils sont vraiment magnifiques et impressionnants. Les Hoccos de Daubenton, en liberté dans la serre, sont au nombre de 3 (1 mâle, 1 femelle et 1 jeune mâle apparemment) et sont très peu farouches ; ils se laissent facilement approcher et traversent fréquemment l'allée lorsqu'il y a peu de monde. Quant aux Grands hoccos, qui étaient en cohabitation avec les Aras hyacinthe, cela fait plusieurs mois que je ne les vois plus. En ce moment, les Foudis rouges mâles sont en plumage d'éclipse et ressemblent aux femelles, mais on les démasque grâce à la présence de quelques petites plumes oranges. J'ai vu un seul Ara militaire et un Caurale soleil.
L'un des deux jeunes Lions d'Afrique (il me semble que c'est celui qui a un problème neurologique) a l'extrémité de sa queue coupée. Amputation par un congénère ou par l'équipe vétérinaire ?
L'un des deux jeunes Lions d'Afrique (il me semble que c'est celui qui a un problème neurologique) a l'extrémité de sa queue coupée. Amputation par un congénère ou par l'équipe vétérinaire ?
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gibbon - Messages: 2632
- Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
J’ai visité le parc zoologique de Paris pour la première fois le 15 Octobre.
Je n’avais pas visité l’ancien parc de Paris, et je ne peux donc comparer avec l’ancien.
Globalement, j’ai trouvé le parc intéressant: une collection variée, avec un bon nombre d’espèces menacées, et, malgré ce qui se dit, tout de même attractive pour le grand public (rhino, girafe, félins… ça ne manque tout de même pas de grosse espèces), une pédagogie développée, avec les kiosques qui donnent des informations intéressantes (même si malheureusement, je n’ai pas eu l’impression que beaucoup de monde s’y arrêtait), des enclos, sans être révolutionnaire, la plupart du temps corrects, et une végétation abondante, qui rend la visite agréable.
J’ai notamment particulièrement apprécié, en plus des kiosques, le vivarium européen, qui permet de faire découvrir notre magnifique, et bien souvent menacée, faune locale, les espèces en vol libre dans la serre, les fourmis, ou encore, j’ai adoré regarder les élégants propithèques couronnés.
Cependant, même si j’ai dit que les enclos était la plupart du temps correct, ce n’est pas pour ça qu’ils sont incroyables. La végétation, et la scénarisation des enclos prennent souvent le pas sur l’espace dévolu aux animaux, et certaines espèces se retrouvent un peu avec un labyrinthe, avec toutes ces zones où ils n’ont pas accès.
De plus, bien que le concept de biozone et d’écosystème, novateur, me paraît plutôt représentatif de la réalité dans la nature, j’ai malheureusement trouvé que la transition entre les différents écosystèmes était peu marquée.
En effet, je n’ai pas réussi réellement à savoir quels enclos appartenaient à la savane arborée, à la savane arbustive, ou à la savane rase.
La végétation, qui dans la nature, est caractéristiques des différentes écosystèmes, et assez uniforme dans chacun des écosystèmes, et même dans chaque biozone. On retrouve un peu tout le temps des argousiers, …
Après, des contraintes climatiques rentrent bien sur en jeu, on ne peut pas faire pousser n’importe quoi, mais puisque le découpage en biozone est un des axes phares du projet, j’aurais aimé qu’il soit plus marqué.
Après, je m’interroge sur la pertinence de ses biozones, et sur la pertinence des choix des espèces.
La zone Patagonie est par exemple particulièrement inintéressante, en tout cas pour les deux grandes plaines à camélidés et mara.
La zone Sahel-Soudan s’en tire un peu mieux, mais je ne suis pas sur que faire un enclos à oryx et un enclos à addax était nécessaire, car même si c’est ces deux espèces sont particulièrement menacées, pour le visiteur lambda, ça ne doit pas lui paraitre bien différent. Si on rajoute en plus l’enclos des cobes de Lechwe, on se retrouve avec 3 enclos monospécifiques à bovidés assez proches.
La plaine à girafes, bien que plutôt grandes, se retrouve aussi être assez inintéressante, puisque toutes les girafes restent devant la porte du batiment.
En fait, je serais pour retirer un des enclos à ongulés, afin d’y mettre deux ou trois petits enclos, avec des espèces bien plus actives.
Je pense notamment aux suricates ou aux mangoustes, à des chats des sables, des oryctéropes, des goundis ou des damans, des écureuils du Cap, des fennecs, ou encore des protèles…
Bien que la plupart de ces espèces ne soit pas particulièrement menacées, cela permettrait de rendre dynamique et plaisante cette zone.
L’ajout de Dik-dik de Kirk ou de phacochères dans une des plaines rendrait aussi la zone plus dynamique.
J’ai par contre trouvé la grande volière intéressante et réussi, la végétation y ayant bien poussé par rapport aux photos que j’avais vu à l’ouverture. Bien que je ne pense pas qu’il y avait toutes les espèces indiquées sur les panneaux, la collection reste très variée et sympathique dans cette volière.
Vient ensuite la biozone Europe. La problématique des grands carnivores est intéressante et d’actualité, mais cette zone, constitué exclusivement de carnivores à part le vivarium, ne leur offre pas spécialement de bonne condition de vie. J’ai du mal à comprendre qu’on ai pu faire un enclos à loups comme ça…
Il y a moins de points noirs apparent dans les zones Guyane et Madagascar, mais je n’ai pas trouvé l’enclos des jaguars fameux, et l’espace devant la serre aurait pu être utilisé.
J’ai aussi regretté le nombre d’espèces de primates, et je me demande dans quelles installations vivent les primates lorsqu’ils ne sont pas présentés.
Finalement, j’ai plutôt apprécié le parc zoologique de Paris, assez bien conçu, mais cependant, vu le prix que le parc a coûté (167 millions €!-, je pense qu’on aurait pu en attendre bien plus…
Quelques photos de cette visite:
Nandou
Guanaco
Ouette de Magellan
Cobe de Lechwe
Autruche
Girafe
Grand koudou
Héron garde-boeufs
Dendrocygne fauve
Mantelle de Baron, prise en photo un peu bizarrement…
Rhinocéros blanc
Je n’avais pas visité l’ancien parc de Paris, et je ne peux donc comparer avec l’ancien.
Globalement, j’ai trouvé le parc intéressant: une collection variée, avec un bon nombre d’espèces menacées, et, malgré ce qui se dit, tout de même attractive pour le grand public (rhino, girafe, félins… ça ne manque tout de même pas de grosse espèces), une pédagogie développée, avec les kiosques qui donnent des informations intéressantes (même si malheureusement, je n’ai pas eu l’impression que beaucoup de monde s’y arrêtait), des enclos, sans être révolutionnaire, la plupart du temps corrects, et une végétation abondante, qui rend la visite agréable.
J’ai notamment particulièrement apprécié, en plus des kiosques, le vivarium européen, qui permet de faire découvrir notre magnifique, et bien souvent menacée, faune locale, les espèces en vol libre dans la serre, les fourmis, ou encore, j’ai adoré regarder les élégants propithèques couronnés.
Cependant, même si j’ai dit que les enclos était la plupart du temps correct, ce n’est pas pour ça qu’ils sont incroyables. La végétation, et la scénarisation des enclos prennent souvent le pas sur l’espace dévolu aux animaux, et certaines espèces se retrouvent un peu avec un labyrinthe, avec toutes ces zones où ils n’ont pas accès.
De plus, bien que le concept de biozone et d’écosystème, novateur, me paraît plutôt représentatif de la réalité dans la nature, j’ai malheureusement trouvé que la transition entre les différents écosystèmes était peu marquée.
En effet, je n’ai pas réussi réellement à savoir quels enclos appartenaient à la savane arborée, à la savane arbustive, ou à la savane rase.
La végétation, qui dans la nature, est caractéristiques des différentes écosystèmes, et assez uniforme dans chacun des écosystèmes, et même dans chaque biozone. On retrouve un peu tout le temps des argousiers, …
Après, des contraintes climatiques rentrent bien sur en jeu, on ne peut pas faire pousser n’importe quoi, mais puisque le découpage en biozone est un des axes phares du projet, j’aurais aimé qu’il soit plus marqué.
Après, je m’interroge sur la pertinence de ses biozones, et sur la pertinence des choix des espèces.
La zone Patagonie est par exemple particulièrement inintéressante, en tout cas pour les deux grandes plaines à camélidés et mara.
La zone Sahel-Soudan s’en tire un peu mieux, mais je ne suis pas sur que faire un enclos à oryx et un enclos à addax était nécessaire, car même si c’est ces deux espèces sont particulièrement menacées, pour le visiteur lambda, ça ne doit pas lui paraitre bien différent. Si on rajoute en plus l’enclos des cobes de Lechwe, on se retrouve avec 3 enclos monospécifiques à bovidés assez proches.
La plaine à girafes, bien que plutôt grandes, se retrouve aussi être assez inintéressante, puisque toutes les girafes restent devant la porte du batiment.
En fait, je serais pour retirer un des enclos à ongulés, afin d’y mettre deux ou trois petits enclos, avec des espèces bien plus actives.
Je pense notamment aux suricates ou aux mangoustes, à des chats des sables, des oryctéropes, des goundis ou des damans, des écureuils du Cap, des fennecs, ou encore des protèles…
Bien que la plupart de ces espèces ne soit pas particulièrement menacées, cela permettrait de rendre dynamique et plaisante cette zone.
L’ajout de Dik-dik de Kirk ou de phacochères dans une des plaines rendrait aussi la zone plus dynamique.
J’ai par contre trouvé la grande volière intéressante et réussi, la végétation y ayant bien poussé par rapport aux photos que j’avais vu à l’ouverture. Bien que je ne pense pas qu’il y avait toutes les espèces indiquées sur les panneaux, la collection reste très variée et sympathique dans cette volière.
Vient ensuite la biozone Europe. La problématique des grands carnivores est intéressante et d’actualité, mais cette zone, constitué exclusivement de carnivores à part le vivarium, ne leur offre pas spécialement de bonne condition de vie. J’ai du mal à comprendre qu’on ai pu faire un enclos à loups comme ça…
Il y a moins de points noirs apparent dans les zones Guyane et Madagascar, mais je n’ai pas trouvé l’enclos des jaguars fameux, et l’espace devant la serre aurait pu être utilisé.
J’ai aussi regretté le nombre d’espèces de primates, et je me demande dans quelles installations vivent les primates lorsqu’ils ne sont pas présentés.
Finalement, j’ai plutôt apprécié le parc zoologique de Paris, assez bien conçu, mais cependant, vu le prix que le parc a coûté (167 millions €!-, je pense qu’on aurait pu en attendre bien plus…
Quelques photos de cette visite:
Nandou
Guanaco
Ouette de Magellan
Cobe de Lechwe
Autruche
Girafe
Grand koudou
Héron garde-boeufs
Dendrocygne fauve
Mantelle de Baron, prise en photo un peu bizarrement…
Rhinocéros blanc
- orycterope
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- Enregistré le: Dimanche 02 Juillet 2017 22:17
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
C'est bizarre le smiley sur la dernière photo...
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guirosama - Messages: 1310
- Enregistré le: Mardi 10 Mars 2015 9:22
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Merci pour ce retour. Je suis globalement d'accord avec cette analyse, notamment au niveau de l'attractivité : il y a des girafes, des rhinos, des zèbres, des lions, des babouins, des jaguars, des loups, des reptiles... Ce Vincennes a une collection assez variée pour attirer le public.
Contrairement à toi, je trouve plutôt la zone Guyane pas très réussie. L'enclos des tapirs n'est pas très beau, ni celui des jaguars, ni des chiens des buissons. Hors serre, c'est pas exceptionnel.
Globalement la collection aurait pu être un poil plus équilibrée. Comme toi je trouve que loup-glouton-lynx-loutre c'est un peu trop et pas assez varié. J'aime les gloutons mais j'aurais privilégié une faune française.
En Afrique, en effet trop de plateaux à herbivores. A Dublin, il y a seulement deux grandes plaines qui sont en plus collées, juste séparées par des rochers : d'un côté les girafes, de l'autre les rhinos blancs, et quelques herbivores de chaque côté.
Mais je reconnais comme toi la très grande qualité du vivarium européen, indéniablement la bonne idée !
Contrairement à toi, je trouve plutôt la zone Guyane pas très réussie. L'enclos des tapirs n'est pas très beau, ni celui des jaguars, ni des chiens des buissons. Hors serre, c'est pas exceptionnel.
Globalement la collection aurait pu être un poil plus équilibrée. Comme toi je trouve que loup-glouton-lynx-loutre c'est un peu trop et pas assez varié. J'aime les gloutons mais j'aurais privilégié une faune française.
En Afrique, en effet trop de plateaux à herbivores. A Dublin, il y a seulement deux grandes plaines qui sont en plus collées, juste séparées par des rochers : d'un côté les girafes, de l'autre les rhinos blancs, et quelques herbivores de chaque côté.
Mais je reconnais comme toi la très grande qualité du vivarium européen, indéniablement la bonne idée !
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Pas grand chose de nouveau au PZP, juste la confirmation que les 3 jeunes vigognes ont bien remplacé les alpagas, probablement repartis à la ménagerie.
Le fait le plus marquant, c'est d'avoir pu assister à une intervention chirurgicale sur un babouin, d'ailleurs existe-t-il d'autres zoos où cela est possible également ? J'avais déjà vu des soins en nurserie, mais rien à voir avec cette intervention sous anesthésie générale.
Le fait le plus marquant, c'est d'avoir pu assister à une intervention chirurgicale sur un babouin, d'ailleurs existe-t-il d'autres zoos où cela est possible également ? J'avais déjà vu des soins en nurserie, mais rien à voir avec cette intervention sous anesthésie générale.
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
- Messages: 15735
- Enregistré le: Samedi 13 Août 2005 10:28
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Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Je confirme ! Nous sommes rentrés dans la pièce permettant d'avoir la vue sur la clinique en plaisantant sur le fait que l'on verrait peut-être une girafe ou un lion en train de se faire disséquer, et nous avons été surpris de voir un babouin de belle taille en train de se faire recoudre la cuisse.
Sinon je confirme pour les vigognes, espèce bien plus intéressante. Je continue de penser qu'il faudrait garder cet enclos à l'entrée, en y mettant les nandous de Darwin et quelques maras, et créer une installation pour ours à lunettes dans le grand enclos, plus arboré. Certes, le plus compliqué serait surement de refaire les clôtures (et l'abri, mais j'imagine que l'on pourrait en refaire un sur les fondations de celui existant.)
Sinon je confirme pour les vigognes, espèce bien plus intéressante. Je continue de penser qu'il faudrait garder cet enclos à l'entrée, en y mettant les nandous de Darwin et quelques maras, et créer une installation pour ours à lunettes dans le grand enclos, plus arboré. Certes, le plus compliqué serait surement de refaire les clôtures (et l'abri, mais j'imagine que l'on pourrait en refaire un sur les fondations de celui existant.)
- Antoine6259
- Messages: 5790
- Enregistré le: Dimanche 16 Décembre 2007 13:53
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
J'imaginerai bien deux grands enclos à ours à lunettes dans les faux rochers, avec beaucoup de dénivelé etc, qui accueilleraient les visiteurs à l'entrée comme à Frankfurt. Des cohabitaions avec des singes laineux et des coatis pourraient même être envisagés. Ensuite, une nouvelle "pampa", pourrait faire cohabiter vigognes, poudous, maras et nandous de Darwin, tandis que plus loin, une grande volière présenterai les condors des Andes, en cohabitation avec quelques autres oiseaux. Elle introduirai la zone côtière des manchots et otaries. Le complexe se terminerai avec la volière des pumas, donnant sur la "pampa".
Voilà comment j'imaginerai donc une bonne zone, non plus "Patagonie", mais "Andes", qui permet un choix d'espèces beaucoup plus large. Mais évidemment, cela coûterai cher !
Voilà comment j'imaginerai donc une bonne zone, non plus "Patagonie", mais "Andes", qui permet un choix d'espèces beaucoup plus large. Mais évidemment, cela coûterai cher !
- zoobeauval25
- Messages: 1851
- Enregistré le: Samedi 12 Mars 2016 22:36
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
Sans aller aussi loin que Zoobeauval25, réanimer cette zone patagonienne avec des viscaches, voire seulement des chinchillas, ne serait-ce pas envisageable ?
-
guirosama - Messages: 1310
- Enregistré le: Mardi 10 Mars 2015 9:22
Re: Parc Zoologique de Paris 2017
les 3 jeunes vigognes ont bien remplacé les alpagas, probablement repartis à la ménagerie.
Raté ! Je suis passé à la ménagerie ce matin, les 2 vigognes sont toujours là, aucun alpaga en vue.
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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