Ost Deutschland Jahre

[Simon38]

Merci pour ces conseils avisés ! M’intéressant de près au cinéma et à ses langages, je trouve également que la notion du cadre, tout comme en photographie, est primordiale. Il fait sens, raconte quelque chose, une démarche, un point de vue, une vision du sujet. La lumière est importante aussi mais je ne la mettrais qu'en "seconde position". Mais l'ensemble permet de passer d'une photo documentaire à une véritable oeuvre d'art !

[Therabu]

Tout comme le Tierpark, j'ai eu l'occasion de faire plusieurs visites au zoo de Berlin. Considéré comme étant la collection la plus riche d'Europe, le zoo de Berlin est peut être l'essence même du zoo traditionnel. Le riche passé et les installations d'une autre époque y côtoient des présentations plus modernes voire même innovantes. Le règne animal y est présenté dans sa plus grande diversité en passant de l'éléphant au dendrobate, de l'aigle à la méduse. J'ai néanmoins pris moins de plaisir à visiter le zoo que le Tierpark, surement parce qu'il s'agit d'un cadre urbain plus traditionnel ne permettant pas de bénéficier des mêmes superficies.

Je vais vous présenter cette visite comme d'habitude, c'est à dire avec des photos des pensionnaires plus que des enclos. Je vous invite néanmoins à le parcourir en même temps qu'un compte-rendu ou au moins d'une carte pour ceux qui ne sont jamais allé à Berlin afin de ne pas trop se perdre dans cette multitude.

Carte : http://www.zoo-berlin.de/en/your-visit/zoo-map

Le zoo de Berlin a deux entrées mais j'ai toujours utilisé la Lowentör. Juste après avoir pris son billet, on fait face à un impressionnant monticule de rochers. Des enclos pierreux délimitent des enclos destinés à des caprins tandis que deux petites fosses intégrées permettent de présenter des rongeurs. L'enclos principal et le plus élevé abrite un joli groupe de bouquetins de Sibérie dont les mâles arborent des cornes impressionnantes. un sentier taillé dans le rocher permet de longer les enclos des thars de l'Himalaya et du vieux couple de takins du Tibet qui ont remplacé des bouquetins du Caucase.



Marmotte commune d'Amérique









Bouquetin de Sibérie



Thar de l'Himalaya

Le tour de l'installation mène à des plateaux terreux délimité par des fossés ou des rochers et organisés en cercle autour d'un bâtiment bas. Il s'agit de la maison des rhinocéros. Trois petits enclos sableux logent chacun des rhinocéros indiens qui se reproduisent ici tandis que les deux plateaux suivants sont le lieu de présentation de tapirs. Un couple de tapir brésilien est présenté ainsi qu'un mâle de rare tapir de Baird. Un dernier enclos, visible au fond du parc présente une femelle rhinocéros noir avec son petit.







Tapir de Baird

Avant de pénétrer dans la maison des rhinocéros pour voir les loges intérieurs et éventuellement se rapprocher de manière impressionnante des mastodontes, on peut également pénétrer la nouvelle maison des hippopotames. Ce vaste dôme de verre est entouré de petits enclos extérieurs terreux sur la droite. Le premier permet de proposer un accès à l'extérieur aux hippopotames pygmées tandis que le second présente des phacochères africains. A l'intérieur de la maison, une longue baie vitrée permet d'observer les hippos, amphibies et nains, ainsi que quelques anatidés en vision sous marine. De petites plages de béton offrent une zone de repos aux animaux qui bénéficient aussi d'enclos extérieurs en cohabitation avec des nyalas. Cette installation qui date de 1997 a largement influencé de nombreuses réalisations ultérieures en Europe, certains parcs allant même jusqu'à copier les cohabitations mises en place.













Cette zone se conclut avec les camélidés qui sont représenté par des dromadaires et un groupe de vigognes sur des plateaux sableux entourés de douves. Ces canaux abritent aussi de nombreuses espèces d'anatidés. L'arrière du zoo est consacré aux animaux domestiques et au fameux enclos de contact pour chèvres naines.


Vigogne


Sarcelle des Bahamas


Canard des Philippines

Nous attaquons désormais le complexe des ours. Il s'agit d'une suite de fosses rocheuses qui ont été largement fusionnées et remaniées de sorte que la superficie et l'aménagement est intéressant, tout du moins pour les espèces les plus petites. L'emblème de Berlin est l'ours et le zoo accorde beaucoup d'importance à cette classe zoologique en présentant pendant longtemps l'ensemble des espèces d'ursidés du monde. Cette exhaustivité est en passe d'être restaurée avec l'arrivée prochaine de pandas géants.
Une meute de loups blancs vit dans un enclos assez naturel entre deux fosses. Il me semble qu'ils pouvaient, à une époque, accéder à la fosse des ours bruns.










Ours lippu





Ours polaire



Ours à collier







Loup blanc

[Therabu]

Après les ours, nous allons nous consacrer à la partie figurant en haut à gauche du plan et qui est consacrée aux oiseaux. Attention overdose possible. La faisanderie est un long bâtiment tout en longueur auquel sont adjointes des volières extérieures plus ou moins profondes et avec de la végétation. Inutile de décrire les volières une par une. On peut juste ajouter que chaque volière présente en général un oiseau terrestre et deux ou trois autres plus petits en cohabitation.


Cacique cul-rouge


Martin triste


Sarcelle de Bernier


Stourne de Panay


Crabier de Gray


Cardinal de Virginie




Cariama huppé


Spréo améthyste


Savacou huppé


Rollier varié


Alecto à tête blanche


Coucou terrestre


Etourneau pie


Cassican fluteur


Martin-chasseur à tête brune


Choucador à oreillons bleus




Faisan noble


Manucode à trompette


Eperonnier chinquis


Eperonnier de Germain




Coracine à gorge pourpre


Vanneau à ailes blanches




Kagou huppé

Un second bâtiment plus petit et non visitable sert d'abri à une petite colonie de flamants des Andes et de James, deux espèces rares en captivité et confinées aux hauts plateaux andins.




Flamant des Andes




Flamant de James

Une dernière volière extérieure se présente au visiteur avant qu'il ne rejoigne la mini-ferme. Il s'agit d'une installation pénétrante à thématique marine ou le bassin bénéficie d'une petite machine à vagues. Les plages de sable et de galets parsemées de végétation permettent de présenter plusieurs espèces d'oiseaux affectionnant le littoral.


Harle piette


Canard à bec jaune




Crabier de Java


Sterne inca


Courlis cendré


Chevalier gambette

[abel]

Merci pour ce retour Therabu, et pour tes magnifiques (comme d'habitude ) photos ! Appréciant particulièrement les ours, j'ai un faible pour ta série sur ces animaux, mais les autres images sont tout aussi superbes !

[NRJMelvinT]

Merci pour ces superbes photos !

[gibbon]

Waw, elles sont superbes tes photos !

[Kitzo.]

Tes photos sont superbes, comme d'hab!

[remizoo]

Coup de coeur pour les photos des tapirs ! L'enclos semble bien végétalisé ce qui permet un rendu naturel des photos

[Therabu]

Je vous remercie beaucoup pour vos retours !

Je poursuis ce soir avec la maison des oiseaux qui a ouvert en 2012 suite à d'importants travaux. Néanmoins elle a du être refermée pour des problèmes techniques et elle a été remodelée en 2016 pour offrir de meilleures conditions aux oiseaux.

On peut la décomposer en 7 parties : oui je sais cela semble beaucoup mais vous allez voir que c'est très simple. La partie extérieure de la maison des oiseaux est un couloir de visite en cercle et constitué de quatre quarts (blague sur les pâtisseries interdites). L'un est consacré à l'Océanie, l'un à l'Afrique, l'un à l'Asie et le dernier sert de fourre tout mais comprend principalement des oiseaux sud-américains et des perroquets.


Kookabura


Perruche turquoisine




Sucrier à oreillons bleus


Vanneau soldat


Oiseau-chat à oreillons bleus


Calao pie du Nord


Pic à nuque jaune


Serin du Mozambique


Euplecte vorabé


Tisserin de Taveta


Républicain d'Arnaud




Geai acahé




Toui à bandeau jaune


Araçari grigris




Araçari à mandibule pâle


Tangara évêque

La structure centrale de la maison des oiseaux est plus haute de plafond. Cette partie moins traditionnelle tranche avec la série de volières relativement peu profondes et souvent mono-spécifique. Ici les visiteurs pénètrent des pièces situées sous un plafond transparent ou la thématisation est bien réalisée. Cette espace de contact était divisée en trois, une moitié reconstituant une forêt tropicale asiatique, l'autre séparée en deux présente une zone sèche d'Autralie puis d'Afrique. Après avoir effectué un parcours au sol, il est possible de monter au second étage de la maison des oiseaux pour avoir une vue différente de ces espaces.


Choucador iris et coliou




Traquet du Cap


Barbican à diadème


Cordon bleu cyanocéphale




Vanneau à ailes blanches


Zoosterops kikuyu


Le canard à ailes blanches, espèce menacée d'Asie du Sud-Est qui a bien nesoin d'un programme d'élevage en captivité


Eperonnier chinquis


Coucou présageur de Nouvelle-Guinée




Diamant mandarin

[abel]

Cette nouvelle série sur les oiseaux est sublime !

[Therabu]

Nous laissons le monde des oiseaux derrière nous pour revenir vers le centre du zoo. Le coeur historique du zoo est composé d'enclos assez anciens, plus ou moins adaptés, et consacrés aux ongulés. Berlin est un vieux zoo où la présentation par classe zoologique est encore dominante. A coté des hippopotames et sous le couvert des arbres, se trouve la maison des suidés, une vieille longère entourée de petits enclos sableux ou terreux à barreaux. Encore une fois, la collection présentée est assez exhaustive.




Babiroussa des Célébes


Sanglier des Visayas


Pécari à lèvres blanches




L'énorme sanglier à barbe de Bornéo

J'en profite pour poser une question concernant cette espèce classée Vulnérable ne fait-elle pas l'objet de plus d'attention de la part des zoos ? Il n'y a plus de reproduction en Europe car il semblerait que les individus soient vieux et génétiquement trop proches. Ne serait-ce pas envisageable d'importer des animaux des zoos indonésiens qui ont des groupes reproducteurs voire même simplement d'inséminer des femelles ? Il me semble que l'on pratique cela couramment en élevage industriel.

A proximité des porcs, des volières extérieures présentent principalement des rapaces dans des volières de taille variable, allant du grand vautour pape à la petite chevêchette.


Grand-duc de Sumatra




Chevêchette brune


Vautour palmiste


Vautour moine


Vautour pape


Chouette lapone


Chouette africaine

Les bovidés eux aussi évoluent d'une zone ancienne. Chaque espèce vit dans un petit enclos sableux voire même partiellement pavé, entouré de barrières métalliques et dispose d'un bâtiment rappelant l'origine géographique des animaux. Les bisons américians vivent ainsi dans un abri décoré de motifs amérindiens, les bisons européens dans une izba polonaise, les anoas dans une hutte de Sulawesi ou les bantengs dans un temple indonésien.


Bison d'Amérique


Gaur indien






Buffle nain de forêt

Le secteur s'achève avec les nombreux enclos des cervidés, qui sont plus naturels en moyenne que les bovins et suidés. Il me semble que c'est dans cette zone que des enclos ont été détruits pour faire place à la nouvelle installation dédiée aux pandas géants.


Renne de forêt




Barasingha

Dirigeons nous désormais vers le Landwehrkanal puis l'extension. Une grande place est occupée par une vaste installation circulaire. Divisée en trois, elle comprend un rocher massif en son centre. Les deux enclos les plus petits présentent respectivement des veaux marins et de rares otaries à fourrure du Nord, deux jeunes venus de Hannovre. L'installation principale, qui contient également un enclos de séparation pour les mères qui viennent de mettre bas présente quant à elle une famille d'otaries de Californie.
Il est à noter que le bassin est relativement vaste, d'aspect naturel et animé par une machine à vagues.


Otarie à fourrure du Nord ou ours de mer


Otarie de Californie

En face des pinnipèdes, le polarium présente une petite colonie reproductrice de manchots royaux et de gorfous de Moseley.Deux enclos extérieur permettent de présenter des colonies de manchots de Humboldt et du Cap également. Loutres naines et castors complètent cette zone "aquatique". Le canal est longé par une grande volière pénétrante assez peu visitée où j'ai pu être à proximité d'un couple de grands hoccos.


Gorfou de Moseley


Manchot royal


Castor d'Europe




Grand hocco

[Therabu]

Nous traversons dorénavant l'extension, un terrain de deux hectares ouvert en 1987 et qui est aménagée d'enclos ouverts destinés à des cohabitations d'herbivores.
La première cohabitation est sud-américaine et présente pèle mêle guanacos, capybaras, maras, coscoroba et nandous de Darwin. Le second enclos herbeux présente les marsupiaux du zoo : kangourous roux, wallabys de Parma ainsi que des émeus. Enfin le dernier enclos présente une savane sud-africaine où vivent grands koudou, damalisques à front blanc, springbocks, autruches et pintades. En face de l'enclos australien, un enclos pavé abrite quelques chevaux de Przewalski. Je trouve cette partie vraiment inintéressante dans un zoo comme Berlin. Son seul bienfait est d'apporter des perspectives un petit plus aérées mais quel dommage d'avoir autant d'ongulés rares sur de trop petites surfaces et de ne pas les avoir mieux présenter. Il est prévu dans les plans du directeur de bâtir à cet endroit une nouvelle installation pour les éléphants d'Asie du zoo.


Capybara


Wallaby de Parma


Cheval de Przewalski

Il y a encore peu de temps, la zone accueillait néanmoins une rareté zoologique qui va disparaître à très court terme des collections européennes : le serow du Japon




Serow du Japon

Nous retraversons le pont dans l'autre sens pour regagner la partie principale du zoo et faire le tour de la zone des okapis. Deux enclos organisés autour d'une petite maison non visitable sont consacrés au okapis, en cohabitation avec des céphalophes du Natal et un autre pour des bongos orientaux. En face se situe l'installation de reproduction des rhinocéros noirs. Il y a moins d'enclos que d'individus et seul un d'entre eux est réellement visible des visiteurs. Les individus tournent durant la journée avant de retourner dans une étable basse où les installations ne doivent être ni récentes ni lumineuses. Mais cela n'empêche pas le zoo de Berlin d'avoir une des populations de rhinocéros noirs les plus dynamiques du continent avec des naissances régulières. Cela met un peu de baume au coeur de voir ça après la tuerie du rhinocéros de Thoiry.


Céphalophe du Natal


Okapi


Bongo












Rhinocéros noir de l'Est

Plutôt que de faire le tour du lac et d'aller voir l'enclos des hippotragues et dik-dik, dirigeons-nous vers la fauverie en passant devant le restaurant principal du zoo. La maison des fauves est un grand bâtiment à la forme anguleuse, bordée sur deux de ces faces par une fosse rocheuse et végétalisée, à destination de tigres et de lions. Les autres faces donnent sur des cages extérieures peu profondes et assez basses, où des grands félins tel que jaguar et panthère n'ont rien à faire et où de plus petits carnivores sont aussi à l'étroit.


Tigre de Malaisie


Renard corsac

Les loges des félins sont visibles à l'intérieur, dans la grande tradition des fauveries allemandes. Les petits carnivores disposent de loges assez hautes et relativement bien aménagées, palliant en partie l’insuffisance des installations extérieures. Mais le clou de la fauverie réside au sous-sol où un noctarium relativement récent présente de nombreuses créatures nocturnes. L'installation la plus marquante et qui occupe près de la moitié de l'espace est occupé par un couple d'oryctérope, des liévres sauteurs du Cap et une famille de galagos du Sénégal. Les autres installations sont plus classiques mais la collection n'est pas en reste avec des loris, des curruros ou encore des rat-taupes d'Ansell.


Chat des sables


Galidie élégante




Oryctérope du Cap


Vampire commun


Rat-kangourou de Merriam

[Elouan]

Merci Therabu de nous faire partager ces photos sublimes!

[Therabu]

Merci Elouan !

Juste en ressortant de la fauverie nous faisons face à l'imposant aquarium de Berlin, un établissement séparé du zoo qui dispose d'une entrée dans la rue et d'une autre au sein même du zoo avec la possibilité de bénéficier d'un ticket combiné.
Le premier étage est un aquarium qui était blindé et que je regrette de ne pas avoir plus visité. Les deux étages supérieurs sont eux consacrés aux reptiles, amphibiens et insectes. Les présentations sont en général de très bonne qualité.




Boa de Dumeril


Salamandre tigrée




Fourmis coupeuses de feuilles


Basilic brun


Lézard à collerette


Scinque crocodile


Cténosaure noir


Iguane rhinocéros


Dendrobate jaguar


Dendrobate à tapirier




Emydure à ventre rouge


Epipedobate d'Anthony




Gecko léopard


Rainette marsupiale


Hypsiboas crepitans


Ratier à queue rouge


Crapaud du Colorado


Grand gerrhosaure


Megophrys nasuta


Python vert


Periopthalme de Pearse


Phyllomedusa hypochondrialis


Phyllomedusa sauvagii




Dragon d'eau


Agame barbu


Sceloporus cyanogenis




Tuatara




Varan de Mertens

[Therabu]

La suite et fin de la visite s'articule autour de trois bâtiments. Le premier est la Singerie, en réalité, deux bâtiment accolés, l'un dédié aux anthropoïdes et l'autre aux primates "moyens" et petits. J'avoue avoir passé très peu de temps malgré plusieurs espèces très peu courantes. Les loges intérieures chirurgicales donnent sur des installations extérieures tout aussi pauvres en aménagements naturels. J'avoue ne pas me souvenir des bonobos, les grands singes étant rarement mon sujet de prédilection dans les grands zoos urbains. J'ai tout de même le souvenir que les grands singes ne sont pas dans des conditions horribles. Les orang-outans et les chimpanzés ont des volières hautes et fortement aménagées d'éléments artificiels et les gorilles une petite île engazonnée. Mais détenir cinq grands singes dans un même édifice est tout simplement incohérent avec les standards modernes. Les orang-outans de Bornéo ont déjà quitter le parc mais je n'ai pas l'impression que Berlin prennent la décision de faire partir d'autres groupes.


Hamadryas


Orang-outan de Sumatra

La maison des girafes, d'inspiration mauresque est très jolie et permet d'héberger les grandes dames ainsi que quelques antilopes dans des conditions qui me paraissent toujours satisfaisante malgré l'âge du bâtiment.


Girafe "réticulé"; je crois que les individus berlinois sont malheureusement hybrides

Enfin nous clôturons la visite avec la maison des éléphants. Un bâtiment massif de briques rouges, entouré de trois plateaux sableux héberge dans le plus grand d'entre eux une famille d'éléphants d'Inde. Le grand mâle dispose d'un petit enclos séparé où la proximité avec le géant est impressionnante. Des alpagas occupent le dernier petit plateau. A l'intérieur, on peut voir l'espace de déambulation des femelles éléphantes mais pas les loges, ni l'espace du mâle. J'ai été assez agréablement surpris par l’installation intérieure pour une installation datant des années 50 ! Les enclos extérieur sont malheureusement trop petits même si l'on note divers aménagements pour distraire les pachydermes et l'ombre de plusieurs grands arbres. J'espère que le gros chantier à venir restera le transfert du troupeau dans l'extension après avoir accueillit les pandas géants.












Victor au physique de mammouth

Comme d'habitude, j'ai viré quelques clichés en N/B que je vous soumets :