Parc Zoologique de Paris 2014

[tibo]

Dissipation éclipsée pour les Ardeidés de Vincennes! c'est bien blongios nain dans la volière du détroit et héron strié dans la serre! Et en parlant d'autres espèces non-indiquées dans la volière il y a des canards qui me font bien penser à des canards à bec jaune (Anas undulata) espèce africaine.

http://www.oiseaux.net/oiseaux/canard.a.bec.jaune.html

[Ch-Okapi-k]

C'est bien ça tibo

[Topinoux]

Merci vinc

[Brennus]

J'ai lu tout le post, et j'ai eu un peu peur. J'ai bossé au zoo de Vincennes vers 1985. J'étais au zèbres (okapi, antilopes, kob, en backstage) et au singes. Je rentrais parfois les babouins, la première, j'étais pas fier, et je jouais au fruit sec avec Igor, le mâle chimpanzé (jeux dangereux). Les chimpanzés n'étaient pas visible, ils crachaient sur les gens leur nourriture, et la vitre de protection n'était pas remplacée. J'étais très content de sa réouverture. C'est vrais qu'il était vétuste Je vais y retourner. j'attends encore un peu.
C'est sur que prendre une autre partie du bois aurait été mieux et plus ambitieux, car la surface n'était pas exceptionnel. L'idée de faire des bio-zones, dans un espaces réduit, n'était surement pas une très bonne idée. Une savane africaine dans le bois de Vincennes frise le ridicule . Une critique qui m'a marqué est le point de vue toujours bouché par des grillages ou autre structures. J'espère que l'on peut faire quand même de bonnes photos. J'aimais bien le vieux zoo. Il avait des défauts, c'est sûr, mais il avait une âme

[bastet_75]

Non, les filets concernent les fauves et animaux contenus dans des volières. Pour le reste, le parc bénéficie de bons panoramas. La photo n'y est pas forcément aisée, surtout pour les volière, où les vitres ont des reflets très gênants, mais je pense que bon nombre de perspectives sont possibles. La zone Patagonie, Sahel-Soudan, la Volière, les loutres, les Vautours etc.

L'idéal est d'avoir un assez bon appareil permettant de faire disparaître les mailles avec la profondeur de champ. J'ai pu voir de très beaux clichés sur d'autres sites.

Agrandir le parc sur le bois aurait été une bonne idée, mais hélas irréalisable.

[Brennus]

Merci pour ta réponse. J'irai de toute façon me faire par moi-même mon idée et vous la ferais partager. J'ai quand même du mal à m'imaginer les babouins avec des étiquettes aux oreilles, comme nos vaches et moutons. Je me demande aussi, si c'était si important de garder le rocher, qui ne sert apparemment toujours à rien, et n'est pas très beau. Dommage pour la fauverie, qui était très jolie.

[bastet_75]

La rénovation du Rocher est prévue. C'est à la fois un symbole du zoo de Vincennes, mais également un observatoire. En dessous se trouve le vivarium, et j'ai même lu quelque part que ce rocher avait fait office de château d'eau. Je ne sais pas si c'est toujours le cas.

[Kitzo.]

Et on pourra y monter!

[bastet_75]

Et on pourra y monter!

C'est le principe même d'un observatoire

[Panda21]

Par contre quand j'ai revu ce rocher je me suis demandé comment les bouquetins faisaient pour tenir dessus, la pente est vraiment raide limite verticale

[Kitzo.]

C'est le principe même d'un observatoire

J'ai lu trop vite ton message, je n'avais pas vu observatoire.

Par contre quand j'ai revu ce rocher je me suis demandé comment les bouquetins faisaient pour tenir dessus, la pente est vraiment raide limite verticale

Le bouquetin a des membres puissants et ses pieds sont très élastiques. Donc grâce à ça, ils peuvent tenir facilement même mieux que le chamois!

[gibbon]

J'aimais bien le vieux zoo. Il avait des défauts, c'est sûr, mais il avait une âme

Dommage pour la fauverie, qui était très jolie.

J'ai l'impression de m'entendre parler!
C'est bien vrai, elle était vraiment belle cette fauverie

Par contre quand j'ai revu ce rocher je me suis demandé comment les bouquetins faisaient pour tenir dessus, la pente est vraiment raide limite verticale

Kitzo a raison, le bouquetin a des sabots plus élastiques que le chamois, ce qui explique pourquoi dans la nature, il vit davantage sur les rochers que le second. Mais il faut aussi préciser que les caprins qui vivaient sur le Grand Rocher n'évoluaient pas sur toute sa surface, mais seulement en deux zones bien précises, séparées l'une de l'autre, et qui sont moins pentues que le reste de l'édifice: une zone pour les mouflons à manchettes, située au dessus du bassin des loutres, et constituée d'un petit plateau peu pentu surplombé d'une sorte d'escalier assez raide montant au dessus pour permettre aux animaux de prendre de la hauteur ; et, pour les markhors, un autre espace peu pentu et montant moins haut, en face du plateau des tigres.

[Kitzo.]

Mais il faut aussi préciser que les caprins qui vivaient sur le Grand Rocher n'évoluaient pas sur toute sa surface.

Exactement, ils évoluaient que sur les flancs de béton.

[bastet_75]

Tête carrée, corps allongé, petites oreilles et courtes pattes, le chien des buisson (Speothos venaticus) vit en meute d'une dizaine d'individus. Méconnu et très peu représenté en captivité, cet animal trapu de la famille des Canidés évolue au Parc zoologique de Paris dans la biozone Guyane-Amazonie.

Le chien des buissons (Speothos venaticus) est une espèce de canidé vivant en Amérique centrale et Amérique du Sud. Présent dans la forêt guyanaise (il est appelé "chien-bois" en créole guyanais), il vit en groupe et ne s'éloigne pas des abords du bois. Ce prédateur diurne au corps ramassé chasse en famille, ce qui lui permet de tuer des proies assez volumineuses comme le nandou ou le capybara. Ses doigts sont reliés par une membrane lui permettant de plonger et nager avec une grande facilité. Au Parc zoologique de Paris, le groupe est aussi amené à se nourrir de poissons vivants, péchés dans leur bassin.

Un seul couple reproducteur par meute

Très difficile à observer dans la nature, il est compliqué à localiser pour les scientifiques car les populations sont souvent isolées. Les études sur le comportement et la reproduction de l'espèce ont principalement était menées sur des espèces captives. Le groupe familial d'une dizaine d'individus est mené par le couple Alpha, seul à se reproduire. Le cycle sexuel des autres femelles est bloqué ce qui raréfie la reproduction, en captivité comme à l'état naturel. Pour rester en contact et assurer la cohésion du groupe dans les fourrés parfois denses, ces chiens ne cessent de communiquer par de stridents couinements.

Une espèce méconnue, rare en captivité

L'espèce fut décrite pour la première fois en 1842 à partir de fossiles trouvés dans une caverne du Brésil. L'animal vivant ne fut découvert que plus tard. Certaines tribus indiennes du Brésil en élèvent comme animal de compagnie. Aujourd'hui, l'UICN le classe comme animal "quasi-menacé" en raison de la destruction de son habitat et de l'isolement de ses zones de répartition. En captivité, cette espèce est assez peu représentée dans les zoos européens. Seulement une quinzaine de parcs en présentent.

http://blog.francetvinfo.fr/zoo/2014/06 ... ssons.html

[Panda21]

25 zoos européens selon zootierliste.

C'est quand même le comble pour un animal nommé chien-bois d'avoir un enclos aux antipodes de la représentation qu'on a d'une forêt...