Merci pour ta réponse, très beau parc en tout cas.
Pour la couleur des photos, aucune dominante jaune, j'ai même ressenti avant le message de Vinch, une dominante bleutée plutôt, qu'on peut voir sur des clichés comme ton ours malais, ou tes langurs obscurs, mais rien de gênant. Au contraire, on discerne que l'exposition n'est pas toujours la même, et crée une palette ombre/soleil/eau...
Les seules photos de tes séries Avifauna, Burgers, assez gênantes, pour mon oeil, c'est celles du Calao coiffé (et non pas du Calao à huppe blanche, si je ne dis pas de bêtises), avec son plumage blanc criard.
Si non, très belles séries.
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Au pays des tulipes... et des animaux
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- Baomer
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Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Merci pour ces superbes photos !
Ma page Flickr : https://www.flickr.com/photos/131798845@N07/albums
-
NRJMelvinT - Messages: 661
- Enregistré le: Dimanche 06 Avril 2014 18:17
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Bush
On emprunte un large couloir sous-terrain menant du Desert au Bush.
Faut-il encore présenter le Bush ? Cette serre tropicale entérée d'une superficie d'1,5 hectares est remarquable. Tout d'abord elle est incroyablement bien insérée grâce au relief et à sa conception. Datant de 1988 (!!!), la végétation a depuis pu se développer de manière vraiment exubérante. Le cheminement du visiteur laisse la place à l'aventure et à l'exploration et la grande majorité des animaux profitent de l'ensemble de l'espace en toute liberté au sein de la serre.
Seule ombre au tableau, les présentations des mammifères que sont les lamantins et oryctéropes ont assez mal vieilli, surtout pour ces derniers. Les siréniens vont déménager pour profiter d'un vaste nouveau complexe dont ils seront les stars et où les visiteurs pourront enfin bien les voir. Globalement le reste de la serre ne comprend pas d'enclos : ce qui participe largement à son charme et au fait que presque 30 ans après sa construction, cette installation soit toujours l'une des meilleures dans son genre sur le continent.
Je suis curieux de voir comment le bassin des lamantins va être recyclé. S'il y avait plus de berges, ce serait génial d'y voir les hippopotames nains
Nids de cassiques
Ambiances du Bush
Dernier anhinga roux d'Europe
Anolis de la Guadeloupe
Cassique huppé
Colombine turvert
Shama à croupion blanc
Cossyphe à calotte neigeuse
Carpophage bicolore
Rare carpophage de Pinon
Ibis rouge
Gallicolombe poignardée
Capybara
Iréne vierge
Unique en Europe, le bien nommé piauhau hurleur
Oryctérope
Otidiphaps noble
Tortue pointillée de l'Amazone
Roussette de Lyle
Ptilope superbe
Jacarini noir
Nous continuons notre découverte indoor avec Ocean, l'aquarium du parc. Le nombre de salles et de présentations est somme toute limité mais toutes sont de qualité. Le grand bassin des requins est le plus beau que j'ai vu, même par rapport aux aquariums spécialisés. Surtout les récifs corraliens ne sont pas surpeuplés de poissons prélevés dans le milieu naturel comme on peut le voir ailleurs avec des densités de poissons excessives.
J'ai toujours quelques inconnus qui attendent vos identifications
Inconnu 1
Inconnu 2
Inconnu 3
Inconnu 4
Arothron mappa
Malacanthus latovittatus
Siganus guttatus
Siganus puellus
Requin-martin halicorne
Requin bordé
J'aime bien visité un aquarium au sein même des zoos classiques même si je n'y connais strictement rien en poissons. Je trouve que cela ouvre les yeux sur l'étendue du régne animal.
Savane
En ressortant de l'Ocean, ou bien directment depuis le Bush, on regagne enfin l'air libre. Une immense terrasse surplombe la vaste plaine africaine du parc (6hectares). En fait le restaurant du zoo est construit au dessus des quartiers de nuit des girafes et des antilopes. Il donne également de l'autre coté sur l'intérieur du restaurant. De vastes salles de conférence permettent d'accueillir de lucratifs événements professionnels.
La zone Savane est clairement celle où j'ai passé le moins de temps. Elle est de conception très simple. Tout d'abord une haute passerelle de bois longe le paddock des ongulés puis la plaine africaine. Un petit enclos pour dik-diks se trouve en avant-plan dans une zone boisée.
La plaine abrite un vaste groupe reproducteur de rhinocéros blancs, un troupeau de girafes de Rothschild, des gnous à barbe blanche, des zébres de plaines, des grands koudous, des cobes oncteux et des antilopes roannes. Depuis le parc a également accueillit des oryxs beisa. Il faut savoir que toutes ces antilopes ne cohabitent pas forcément facilement entre elles, ce qui force à garder des groupes dans le paddock...qui dépasse en taille nombre d'enclos français. C'était là où l'on pouvait voir un des derniers bubales d'Europe jusqu'en 2014.
Gnou à barbe blanche
Girafe de Rothschild
Le reste de la zone est constitué de deux vastes enclos pour carnivores sous le couvert des arbres. Ils ne sont visibles du public que par quelques affûts. Le plus grand héberge une troupe de lions d'Afrique et l'autre des guépards. Efficace en terme de bien être animal et de satisfaction du public même si pour le coup c'est rapé pour l'immersion. Je trouve dommage de présenter les guépards de cette manière mais je ne pense pas que les animaux s'en plaignent sincèrement.
On emprunte un large couloir sous-terrain menant du Desert au Bush.
Faut-il encore présenter le Bush ? Cette serre tropicale entérée d'une superficie d'1,5 hectares est remarquable. Tout d'abord elle est incroyablement bien insérée grâce au relief et à sa conception. Datant de 1988 (!!!), la végétation a depuis pu se développer de manière vraiment exubérante. Le cheminement du visiteur laisse la place à l'aventure et à l'exploration et la grande majorité des animaux profitent de l'ensemble de l'espace en toute liberté au sein de la serre.
Seule ombre au tableau, les présentations des mammifères que sont les lamantins et oryctéropes ont assez mal vieilli, surtout pour ces derniers. Les siréniens vont déménager pour profiter d'un vaste nouveau complexe dont ils seront les stars et où les visiteurs pourront enfin bien les voir. Globalement le reste de la serre ne comprend pas d'enclos : ce qui participe largement à son charme et au fait que presque 30 ans après sa construction, cette installation soit toujours l'une des meilleures dans son genre sur le continent.
Je suis curieux de voir comment le bassin des lamantins va être recyclé. S'il y avait plus de berges, ce serait génial d'y voir les hippopotames nains
Nids de cassiques
Ambiances du Bush
Dernier anhinga roux d'Europe
Anolis de la Guadeloupe
Cassique huppé
Colombine turvert
Shama à croupion blanc
Cossyphe à calotte neigeuse
Carpophage bicolore
Rare carpophage de Pinon
Ibis rouge
Gallicolombe poignardée
Capybara
Iréne vierge
Unique en Europe, le bien nommé piauhau hurleur
Oryctérope
Otidiphaps noble
Tortue pointillée de l'Amazone
Roussette de Lyle
Ptilope superbe
Jacarini noir
Nous continuons notre découverte indoor avec Ocean, l'aquarium du parc. Le nombre de salles et de présentations est somme toute limité mais toutes sont de qualité. Le grand bassin des requins est le plus beau que j'ai vu, même par rapport aux aquariums spécialisés. Surtout les récifs corraliens ne sont pas surpeuplés de poissons prélevés dans le milieu naturel comme on peut le voir ailleurs avec des densités de poissons excessives.
J'ai toujours quelques inconnus qui attendent vos identifications
Inconnu 1
Inconnu 2
Inconnu 3
Inconnu 4
Arothron mappa
Malacanthus latovittatus
Siganus guttatus
Siganus puellus
Requin-martin halicorne
Requin bordé
J'aime bien visité un aquarium au sein même des zoos classiques même si je n'y connais strictement rien en poissons. Je trouve que cela ouvre les yeux sur l'étendue du régne animal.
Savane
En ressortant de l'Ocean, ou bien directment depuis le Bush, on regagne enfin l'air libre. Une immense terrasse surplombe la vaste plaine africaine du parc (6hectares). En fait le restaurant du zoo est construit au dessus des quartiers de nuit des girafes et des antilopes. Il donne également de l'autre coté sur l'intérieur du restaurant. De vastes salles de conférence permettent d'accueillir de lucratifs événements professionnels.
La zone Savane est clairement celle où j'ai passé le moins de temps. Elle est de conception très simple. Tout d'abord une haute passerelle de bois longe le paddock des ongulés puis la plaine africaine. Un petit enclos pour dik-diks se trouve en avant-plan dans une zone boisée.
La plaine abrite un vaste groupe reproducteur de rhinocéros blancs, un troupeau de girafes de Rothschild, des gnous à barbe blanche, des zébres de plaines, des grands koudous, des cobes oncteux et des antilopes roannes. Depuis le parc a également accueillit des oryxs beisa. Il faut savoir que toutes ces antilopes ne cohabitent pas forcément facilement entre elles, ce qui force à garder des groupes dans le paddock...qui dépasse en taille nombre d'enclos français. C'était là où l'on pouvait voir un des derniers bubales d'Europe jusqu'en 2014.
Gnou à barbe blanche
Girafe de Rothschild
Le reste de la zone est constitué de deux vastes enclos pour carnivores sous le couvert des arbres. Ils ne sont visibles du public que par quelques affûts. Le plus grand héberge une troupe de lions d'Afrique et l'autre des guépards. Efficace en terme de bien être animal et de satisfaction du public même si pour le coup c'est rapé pour l'immersion. Je trouve dommage de présenter les guépards de cette manière mais je ne pense pas que les animaux s'en plaignent sincèrement.
- Therabu
- Messages: 3918
- Enregistré le: Vendredi 30 Mai 2008 16:10
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Merci pour les images malgré le retard !
Je confirme l'immense qualité des grandes serres du Burger's zoo.
Beauval pourrait largement nous pondre un petit Bush avec peu de grosses espèces mais cette ambiance hors du commun. Car, tu l'as bien souligné, ces installations là vieillissent très bien. Le Bush est de 1988 ! A contrario, si le Zooparc pond une serre où vivent uniquement en intérieur des hippos nains, des loutres géantes, des singes de grande taille, des gros reptiles, etc... Le risque que les enclos apparaissent très exigus au bout de 5 à 10 ans est grand, si pas dès l'ouverture.
Mais bon, cessons de parler de Beauval. J'adore le Bush et je pense que le bassin des lamantins peut rester un point d'eau pour les capybaras.
L'Ocean, c'est le plus bel aquarium que j'ai visité. Sans hésitation.
Pour la savane, je trouve l'espace des rhinos blancs de très grande qualité, la partie des girafes sous les arbres est un peu moins immersive... Et tu as raison, la partie lions/guépards est une très belle forêt, à l'opposé les gorilles et chimps du zoo sont plutôt en milieu ouvert, on pourrait avoir une inversion qui vaudrait bien le coup !
Je confirme l'immense qualité des grandes serres du Burger's zoo.
Beauval pourrait largement nous pondre un petit Bush avec peu de grosses espèces mais cette ambiance hors du commun. Car, tu l'as bien souligné, ces installations là vieillissent très bien. Le Bush est de 1988 ! A contrario, si le Zooparc pond une serre où vivent uniquement en intérieur des hippos nains, des loutres géantes, des singes de grande taille, des gros reptiles, etc... Le risque que les enclos apparaissent très exigus au bout de 5 à 10 ans est grand, si pas dès l'ouverture.
Mais bon, cessons de parler de Beauval. J'adore le Bush et je pense que le bassin des lamantins peut rester un point d'eau pour les capybaras.
L'Ocean, c'est le plus bel aquarium que j'ai visité. Sans hésitation.
Pour la savane, je trouve l'espace des rhinos blancs de très grande qualité, la partie des girafes sous les arbres est un peu moins immersive... Et tu as raison, la partie lions/guépards est une très belle forêt, à l'opposé les gorilles et chimps du zoo sont plutôt en milieu ouvert, on pourrait avoir une inversion qui vaudrait bien le coup !
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
- Messages: 7204
- Enregistré le: Mercredi 10 Août 2005 15:24
- Localisation: gironde
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
En effet Rapahël, j'en arrive aux grands singes. Les installations des grands singes sont parmi les plus vieilles du zoo (1971 pour les chimpanzés !) et contrastent aujourd'hui avec le reste du zoo. Néanmoins je tiens à dire que j'ai été positivement impressionné par la taille de ces structures et leur aspect pas si artificiel que cela. Les chimpanzés disposent de deux grandes îles herbeuses agrémentées de structures d'escalade tandis que les gorilles vivent dans un enclos visible depuis des baies vitrées. J'imagine que la végétation est protégée d'une certaine manière chez ses derniers mais j'ai vu des jeunes grimper aux arbres tout comme les rares mangabeys à ventre doré qui ont rejoint les anthropoïdes.
Nous sommes aux Pays-Bas et les hivers peuvent être rudes pour nos cousins les grands singes. Les bâtiments, qui ne sont pas ouverts en été, sont d'après ce que j'ai vu immenses. Il s'agit d'une sorte d'immense hangar, moche au possible, mais très grand et rempli d'agrès. Les singes se fichant bien de la couleur des murs, je trouve que finalement Arnhem s'en sort bien pour ces grands singes avec une aussi vieille installation même si les standards actuels ont bien évidemment évolué.
Le zoo a encore pas mal de place dans la forêt se situant derrière les félins et les grands singes. on imaginerais facilement un nouveau monde extérieur consacré aux forêts tropicales africaines permettant de reloger les grands singes. J'ai également rêver de voir des okapis dans ce sous-bois dense.
Après avoir passé le secteur des grands singes, il ne nous reste qu'à découvrir le reste du vieux zoo. Il s'agit en fait principalement de la zone des oiseaux, composé d'une vaste faisanderie aux installations convenables et efficaces pour la reproduction, de quelques enclos ouverts pour wallabys bicolores ou pélicans et d'une volière à vautours. Une vaste partie de cette zone a été détruite pour laisser la place à la nouvelle grande mangrove actuellement en construction.
Calao charbonnier
Cardinal de Virginie
Rare et menacé, le hocco de Blumenbach
Geai inca
Paon vert de Java
Les yeux perçants de la bondrée apivore
Calao à casque rouge
Wallaby bicolore
Je conclue cette visite avec la charmante petite serre de la mangrove, qui semble être restée debout mais qui n’accueillera plus d'animaux. Il faut savoir que cette structure avait à l'origine était conçue comme un brouillon avant l'immense Bush, afin d'apprendre à réaliser une telle structure. En 1992, elle a été reconvertie en mangrove et est toujours à l'heure actuelle et à ma connaissance, la seule mangrove reconstituée que le visiteur puisse explorer.
Oiseau-chat à oreillons blancs
Perruche erythroptére
Blongios nain
Elseya brandehosrsti
Cormoran-pie
Orlitia borneensis
Ptilope magnifique
Martin-chasseur sacré
Grive de Doherty
C'est ainsi que s'achève la visite du Burger's Zoo. J'en ai comme vous l'avez compris, gardé une impression très positive. La collection est belle et intéressante avec pas mal de raretés. Pourtant l'espace alloué aux animaux est en général fort intéressant. L'abondance de zones couvertes et l'absence de bestioles inutiles (tigres blancs, ratons-laveurs, dromadaires, guanacos et autres watusis) sont peut être des premières pistes de réflexion intéressantes pour les zoos qui seraient bien inspirés de regarder ce que fait ce parc depuis plusieurs décennies. Car c'est ce qui m'a marqué avec ce parc : à quel point les installations ne se démodaient pas. Evidemment certains des enclos, vieux de plus de 30 ans ne sont plus des références en Europe mais le parc a réellement été visionnaire en construisant ces vastes espaces de cohabitation et de proximité entre les espèces et les visiteurs. Le parc évolue encore, à une vitesse moins fulgurante que d'autres mais peut être d'une manière plus durable. C'est un cercle vertueux car ces installations de qualité n'ont pas besoin d'être refaites au bout de dix ans, ce qui dégage de la ressource financière et du temps pour développer une nouvelle installation pertinente pour de longues années et adaptée aux évolutions de la collection.
Le parc se couple parfaitement avec Apenheul, qui sera ma prochaine étape, et est facilement faisable depuis la France en transports en commun si l'on dispose de trois jours.
Oui c'est un appel du pied !
Nous sommes aux Pays-Bas et les hivers peuvent être rudes pour nos cousins les grands singes. Les bâtiments, qui ne sont pas ouverts en été, sont d'après ce que j'ai vu immenses. Il s'agit d'une sorte d'immense hangar, moche au possible, mais très grand et rempli d'agrès. Les singes se fichant bien de la couleur des murs, je trouve que finalement Arnhem s'en sort bien pour ces grands singes avec une aussi vieille installation même si les standards actuels ont bien évidemment évolué.
Le zoo a encore pas mal de place dans la forêt se situant derrière les félins et les grands singes. on imaginerais facilement un nouveau monde extérieur consacré aux forêts tropicales africaines permettant de reloger les grands singes. J'ai également rêver de voir des okapis dans ce sous-bois dense.
Après avoir passé le secteur des grands singes, il ne nous reste qu'à découvrir le reste du vieux zoo. Il s'agit en fait principalement de la zone des oiseaux, composé d'une vaste faisanderie aux installations convenables et efficaces pour la reproduction, de quelques enclos ouverts pour wallabys bicolores ou pélicans et d'une volière à vautours. Une vaste partie de cette zone a été détruite pour laisser la place à la nouvelle grande mangrove actuellement en construction.
Calao charbonnier
Cardinal de Virginie
Rare et menacé, le hocco de Blumenbach
Geai inca
Paon vert de Java
Les yeux perçants de la bondrée apivore
Calao à casque rouge
Wallaby bicolore
Je conclue cette visite avec la charmante petite serre de la mangrove, qui semble être restée debout mais qui n’accueillera plus d'animaux. Il faut savoir que cette structure avait à l'origine était conçue comme un brouillon avant l'immense Bush, afin d'apprendre à réaliser une telle structure. En 1992, elle a été reconvertie en mangrove et est toujours à l'heure actuelle et à ma connaissance, la seule mangrove reconstituée que le visiteur puisse explorer.
Oiseau-chat à oreillons blancs
Perruche erythroptére
Blongios nain
Elseya brandehosrsti
Cormoran-pie
Orlitia borneensis
Ptilope magnifique
Martin-chasseur sacré
Grive de Doherty
C'est ainsi que s'achève la visite du Burger's Zoo. J'en ai comme vous l'avez compris, gardé une impression très positive. La collection est belle et intéressante avec pas mal de raretés. Pourtant l'espace alloué aux animaux est en général fort intéressant. L'abondance de zones couvertes et l'absence de bestioles inutiles (tigres blancs, ratons-laveurs, dromadaires, guanacos et autres watusis) sont peut être des premières pistes de réflexion intéressantes pour les zoos qui seraient bien inspirés de regarder ce que fait ce parc depuis plusieurs décennies. Car c'est ce qui m'a marqué avec ce parc : à quel point les installations ne se démodaient pas. Evidemment certains des enclos, vieux de plus de 30 ans ne sont plus des références en Europe mais le parc a réellement été visionnaire en construisant ces vastes espaces de cohabitation et de proximité entre les espèces et les visiteurs. Le parc évolue encore, à une vitesse moins fulgurante que d'autres mais peut être d'une manière plus durable. C'est un cercle vertueux car ces installations de qualité n'ont pas besoin d'être refaites au bout de dix ans, ce qui dégage de la ressource financière et du temps pour développer une nouvelle installation pertinente pour de longues années et adaptée aux évolutions de la collection.
Le parc se couple parfaitement avec Apenheul, qui sera ma prochaine étape, et est facilement faisable depuis la France en transports en commun si l'on dispose de trois jours.
Oui c'est un appel du pied !
- Therabu
- Messages: 3918
- Enregistré le: Vendredi 30 Mai 2008 16:10
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
C'est vrai que les photos sont belles, mais rien ne dit qu'elles n'ont pas été retouchées
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
Guillaume Lecointre
-
gibbon - Messages: 2645
- Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Oui, et rien ne prouve non plus qu'elles ont été prises par leur auteur... Pas plus que leur véritable origine: en fait, c'est un marsupilami parfaitement dressé qui les a faites... Non, mais, sérieusement...
- okapi
- Messages: 12061
- Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
gibbon a écrit:C'est vrai que les photos sont belles, mais rien ne dit qu'elles n'ont pas été retouchées
Pourquoi s'en privé? Je ne m'en cache absolument pas, la retouche fait partie du processus de traitement de mes images. Peut-être trouves-tu cela trop présent ?
- Therabu
- Messages: 3918
- Enregistré le: Vendredi 30 Mai 2008 16:10
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Quelle importance? Cette suspicion de "triche" est ridicule: une photographie est une oeuvre à part entière et dès lors qu'elle est partagée, elle est assumée. Que Therabu retouche ses images n'enlève rien à leur intégrité puisqu'elles sont offertes comme achevées. Il n'y a rien de douteux là-dedans comme tu sembles le sous-entendre: le photographe fait des choix, les siens, et "crée" ses images en fonction de ce qu'il souhaite montrer. Therabu ne fait pas de la photographie documentaire, il compose et cadre ses sujets et impose son regard. Ou est le problème?
- okapi
- Messages: 12061
- Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Non Therabu, tes retouches ne sont pas trop présentes, et tes photos sont effectivement très belles à regarder. Ce que je voulais dire, c'est que la retouche aide énormément à obtenir au final des photos magnifiques. Mais il n'y a aucune suspicion de "triche", je ne vois pas d'où sortent ces termes. La photo peut être considérée comme une œuvre d'art, mais tout dépend de comment chacun veut réaliser ses photos et quelle utilisation il veut en faire. Dans le cas de photos retouchées, une partie du travail se réalise lorsque l'appareil est entre les mains, et l'autre partie se fait lors de la retouche, sur l'ordinateur. Mais on peut aussi, et c'est ma façon se faire, décider de réaliser de très beaux clichés en utilisant uniquement l'appareil photo. La probabilité d'atteindre un bon résultat est plus faible, car la tâche est plus difficile, mais la fierté en est, à mon sens, d'autant plus grande. À l'exception d'un découpage des bords de temps à autres pour recarder le sujet, je n'ai jamais retouché une seule de mes photos car je trouve que la retouche enlève de l'authenticité à l'image. C'est mon avis, mon ressenti. Ce sont approches différentes, et toutes sont respectables.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
Guillaume Lecointre
-
gibbon - Messages: 2645
- Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Lorsqu'il ne photographiait qu'en noir et blanc un certain type de sujets, mon ami photographe mettait un point d'honneur au tirage à laisser le cadre noir en bordure de toutes ses images. C'était pour lui la meilleure manière d'assumer ses choix en termes de cadrage et de point de vue et une façon aussi d'attester de l'intégrité de l'image telle qu'il l'avait construite avant de déclencher. Aujourd'hui, où la photographie s'est immensément démocratisée, où tout un chacun peut s'assumer photographe avec un portable, une tablette ou, éventuellement un appareil, où la technique aide et soutient considérablement le photographe, je ne suis pas sûr que cette conscience de la photo brute de traitement soit essentielle... D'ailleurs, en l'occurence, recadrer une image, c'est lui enlever une part de son intégrité: ce fameux cadre noir apparent était, évidemment, sans pitié. De mon point de vue, franchement, recadrer ou modifier la lumière, c'est tricher. Mais, et c'est aussi mon avis personnel, c'est pour la bonne cause: montrer la meilleure image d'une nature restituée selon un regard et une vision. Il y a peu de photographes professionnels ici, mais chacun possède son droit de regard sur le monde et, retouché ou pas, c'est l'essentiel.
- okapi
- Messages: 12061
- Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
gibbon a écrit:Non Therabu, tes retouches ne sont pas trop présentes, et tes photos sont effectivement très belles à regarder. Ce que je voulais dire, c'est que la retouche aide énormément à obtenir au final des photos magnifiques. Mais il n'y a aucune suspicion de "triche", je ne vois pas d'où sortent ces termes. La photo peut être considérée comme une œuvre d'art, mais tout dépend de comment chacun veut réaliser ses photos et quelle utilisation il veut en faire. Dans le cas de photos retouchées, une partie du travail se réalise lorsque l'appareil est entre les mains, et l'autre partie se fait lors de la retouche, sur l'ordinateur. Mais on peut aussi, et c'est ma façon se faire, décider de réaliser de très beaux clichés en utilisant uniquement l'appareil photo. La probabilité d'atteindre un bon résultat est plus faible, car la tâche est plus difficile, mais la fierté en est, à mon sens, d'autant plus grande. À l'exception d'un découpage des bords de temps à autres pour recarder le sujet, je n'ai jamais retouché une seule de mes photos car je trouve que la retouche enlève de l'authenticité à l'image. C'est mon avis, mon ressenti. Ce sont approches différentes, et toutes sont respectables.
Merci pour ton avis et ta vision. Je préciserais que le post-traitement est une chose que j'intègre dès la prise de vue. Ce n'est pas une prise de vue sur place puis une fois derrière mon ordinateur j'essaye de l'améliorer comme je peux. Il y a tellement de paramètres qui séparent la photo moyenne d'un cliché réussi. Si le post-traitement me permet d'en négliger certains à la prise de vue pour me concentrer sur l'essentiel et ce que je ne pourrais pas rattraper plus tard, je ne vois pas pourquoi cela enlève de l'authenticité à la photo. Que fait le processeur de l'appareil photo lorsqu'il convertit la lumière en signaux électroniques sur un écran ? Du traitement d'image. Sauf que l'on a pas la main dessus ou alors à la marge avec quelques réglages. Je vois le post-traitement comme une interprétation complémentaire au cadrage plutôt qu'un simple moyen d'améliorer l'image.
- Therabu
- Messages: 3918
- Enregistré le: Vendredi 30 Mai 2008 16:10
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Au passage, même le meilleur appareil photo n'a pas la même sensibilité et la même perception des couleurs, teintes et contrastes que l'oeil humain.
Parfois, une retouche donne un rendu plus réaliste que la photo originelle.
Parfois, une retouche donne un rendu plus réaliste que la photo originelle.
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
- Messages: 7204
- Enregistré le: Mercredi 10 Août 2005 15:24
- Localisation: gironde
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Apenheul
Apenheul est situé à quelques kilomètres seulement du Burgers'Zoo. Malgré cela l'établissement quarantenaire spécialisé dans la présentation des primates ne semblait pas souffrir de son prestigieux voisin. Le site est très arboré bien que moins joli que celui de la vallée des singes. En effet le parc est situé au sein d'une vaste forêt mixte de feuillus et de conifères.
Etant un voisin du parc spécialisé français, j'ai énormément apprécié cette visite afin de connaître le modèle de la Vallée et surtout les axes d'évolution. En effet, le parc détient une collection de primates relativement de la même taille mais propose une expérience de visite bien différente. Il y a plus de bâtiments, plus d'éléments artificiels mais aussi plus de variations dans le parcours avec des modes de présentations diversifiées (bien que tous adaptés) et surtout un cheminement du visiteur bien plus riche (Variations de niveau, chemins secondaires plus fréquents, espèces autres que primates, alternance de milieux, aménagements notamment pour les enfants).
Encore une fois, mes descriptions ne sont pas exhaustives. Je vous renvoie pour cela vers le compte-rendu dressé par Johan :
https://zoospassion.com/zoos_europe/zoo ... nheul.html
Tout comme à la Vallée, la visite commence avec un vaste territoire d’immersion pour un grand groupe de saïmiris de Bolivie. Des nandous de Darwin évoluent également en liberté (!) sur ce territoire tandis que des cobayes et des hurleurs noirs disposent chacun de leur installation.
Plus loin, se trouve le territoire malgache. Le gros de l'espace est occupé par un territoire d'immersion où vivent les traditionnels catta, varis mais aussi des lémurs à ventre roux. Une vaste volière à rpoximité des bâtiments et de huttes pédagogiques abrite un couple de propithéques couronnés et des petits happalémurs du lac Alaotra. Enfin un couple de lémurs aux yeux turquoise profite également d'une volière isolée et végétalisé sur ce territoire.
A la sortie de l'île malgache, le visiteur bénéficie d'un premier point de vue sur l'île végétalisée des bonobos. Jusqu'à ce que la Vallée accueille un grand groupe et dédie un bout de forêt entière à son groupe de bonobos, Apenheul était la référence européenne. Le bâtiment est également visitable.
Vient par la suite le restaurant principale du parc orienté sur l'Indonésie (les Pays-Bas gardent une histoire particulière avec ce pays qui fut pendant longtemps leur poule aux œufs d'or et dont l'immigration fut forte). Toute une mini-ferme indonésienne est représentée ici et les gens peuvent déguster leur nourriture au milieu d'animaux domestiques et sauvages. En effet, quelques loriquets et des paons verts de Java évoluaient en liberté autour des tables.
Peu après se trouve l'animal qui m'avait le plus motivé pour visiter Apenheul. En effet, quatre des cinq nasiques mâles reçus de Singapour avait péri en raison de complications médicales malchanceuses et le dernier animal devait partir incessamment sous peu pour l'Asie. j'ai eu la chance, à quelques jours près d'observer le dernier nasique issu de cette série d'importations infructueuses. Les animaux bénéficiaient d'une île à la végétation basse très dense complétée de structures d'escalade. Les nasiques étant bons nageurs, un impressionnant dispositif électrique avait du être mis en place en complément des douves pour contenir les singes. J'ai néanmoins trouvé que le bâtiment comme l'installation était légérement décevant (sans être insuffisants) face à l’extrême rareté des spécimens accueillis. C'est vraiment une espèce incroyable.
Des îles naturelles mais non forestières complètent cette zone asiatique avec des macacques ouandérous et des langurs de Java. Enfin, on atteint une des extrémités du parc où se trouve le fameux complexe des orang-outans. Cette installation est composée d'un vaste bâtiment visitable du public et très modulable.Les nombreuses loges sont hautes de plafond et abondamment aménagées. La pédagogie en néerlandais semblait richhe et intéressante mais je ne peux guère en juger. Ce complexe est étonnant de par la conception du territoire extérieur. Il s'agit en fait d'une série de petits îlots à la surface limitée hérissés de hautes structures de bambous horizontales reliées par des cordes. L’idée principale qui a mené la conception de l'installation est d'inciter les grands singes roux à passer le plus de temps possible en l'air et le moins possible au sol, comme ils le feraient dans la nature. L'installation n'est guère esthétique mais permet d'une part aux animaux d'utiliser leur mode de locomotion naturel (notamment en pliant les structures pour pouvoir faire le lien entre deux structures/arbres) et aussi de s'isoler selon leur bon vouloir sans avoir à séparer les individus. On s'aperçoit en fait que les orang-outans ne sont pas si solitaires qu'on le pensait au premier abord. Si les animaux ne se rencontrent pas en groupe, ils sont tout à fait au courant de la proximité d'autres individus et entretiennent des relations de longue durée. A l'image des ours, ce sont des animaux solitaires dont la vie sociale est très riche.
Apenheul est situé à quelques kilomètres seulement du Burgers'Zoo. Malgré cela l'établissement quarantenaire spécialisé dans la présentation des primates ne semblait pas souffrir de son prestigieux voisin. Le site est très arboré bien que moins joli que celui de la vallée des singes. En effet le parc est situé au sein d'une vaste forêt mixte de feuillus et de conifères.
Etant un voisin du parc spécialisé français, j'ai énormément apprécié cette visite afin de connaître le modèle de la Vallée et surtout les axes d'évolution. En effet, le parc détient une collection de primates relativement de la même taille mais propose une expérience de visite bien différente. Il y a plus de bâtiments, plus d'éléments artificiels mais aussi plus de variations dans le parcours avec des modes de présentations diversifiées (bien que tous adaptés) et surtout un cheminement du visiteur bien plus riche (Variations de niveau, chemins secondaires plus fréquents, espèces autres que primates, alternance de milieux, aménagements notamment pour les enfants).
Encore une fois, mes descriptions ne sont pas exhaustives. Je vous renvoie pour cela vers le compte-rendu dressé par Johan :
https://zoospassion.com/zoos_europe/zoo ... nheul.html
Tout comme à la Vallée, la visite commence avec un vaste territoire d’immersion pour un grand groupe de saïmiris de Bolivie. Des nandous de Darwin évoluent également en liberté (!) sur ce territoire tandis que des cobayes et des hurleurs noirs disposent chacun de leur installation.
Plus loin, se trouve le territoire malgache. Le gros de l'espace est occupé par un territoire d'immersion où vivent les traditionnels catta, varis mais aussi des lémurs à ventre roux. Une vaste volière à rpoximité des bâtiments et de huttes pédagogiques abrite un couple de propithéques couronnés et des petits happalémurs du lac Alaotra. Enfin un couple de lémurs aux yeux turquoise profite également d'une volière isolée et végétalisé sur ce territoire.
A la sortie de l'île malgache, le visiteur bénéficie d'un premier point de vue sur l'île végétalisée des bonobos. Jusqu'à ce que la Vallée accueille un grand groupe et dédie un bout de forêt entière à son groupe de bonobos, Apenheul était la référence européenne. Le bâtiment est également visitable.
Vient par la suite le restaurant principale du parc orienté sur l'Indonésie (les Pays-Bas gardent une histoire particulière avec ce pays qui fut pendant longtemps leur poule aux œufs d'or et dont l'immigration fut forte). Toute une mini-ferme indonésienne est représentée ici et les gens peuvent déguster leur nourriture au milieu d'animaux domestiques et sauvages. En effet, quelques loriquets et des paons verts de Java évoluaient en liberté autour des tables.
Peu après se trouve l'animal qui m'avait le plus motivé pour visiter Apenheul. En effet, quatre des cinq nasiques mâles reçus de Singapour avait péri en raison de complications médicales malchanceuses et le dernier animal devait partir incessamment sous peu pour l'Asie. j'ai eu la chance, à quelques jours près d'observer le dernier nasique issu de cette série d'importations infructueuses. Les animaux bénéficiaient d'une île à la végétation basse très dense complétée de structures d'escalade. Les nasiques étant bons nageurs, un impressionnant dispositif électrique avait du être mis en place en complément des douves pour contenir les singes. J'ai néanmoins trouvé que le bâtiment comme l'installation était légérement décevant (sans être insuffisants) face à l’extrême rareté des spécimens accueillis. C'est vraiment une espèce incroyable.
Des îles naturelles mais non forestières complètent cette zone asiatique avec des macacques ouandérous et des langurs de Java. Enfin, on atteint une des extrémités du parc où se trouve le fameux complexe des orang-outans. Cette installation est composée d'un vaste bâtiment visitable du public et très modulable.Les nombreuses loges sont hautes de plafond et abondamment aménagées. La pédagogie en néerlandais semblait richhe et intéressante mais je ne peux guère en juger. Ce complexe est étonnant de par la conception du territoire extérieur. Il s'agit en fait d'une série de petits îlots à la surface limitée hérissés de hautes structures de bambous horizontales reliées par des cordes. L’idée principale qui a mené la conception de l'installation est d'inciter les grands singes roux à passer le plus de temps possible en l'air et le moins possible au sol, comme ils le feraient dans la nature. L'installation n'est guère esthétique mais permet d'une part aux animaux d'utiliser leur mode de locomotion naturel (notamment en pliant les structures pour pouvoir faire le lien entre deux structures/arbres) et aussi de s'isoler selon leur bon vouloir sans avoir à séparer les individus. On s'aperçoit en fait que les orang-outans ne sont pas si solitaires qu'on le pensait au premier abord. Si les animaux ne se rencontrent pas en groupe, ils sont tout à fait au courant de la proximité d'autres individus et entretiennent des relations de longue durée. A l'image des ours, ce sont des animaux solitaires dont la vie sociale est très riche.
- Therabu
- Messages: 3918
- Enregistré le: Vendredi 30 Mai 2008 16:10
Re: Au pays des tulipes... et des animaux
Merci pour ce début Therabu ! Etant un habitué de la Vallée et un passionné de primates, ce compte-rendu me permet d'en savoir un peu plus sur le modèle de la Vallée. Encore une fois, tes photos sont magnifiques, j'adore la photo de l'orang-outan, et la série sur cet étonnant (et rare!) primate qu'est le nasique est aussi très bien.
Ce parc a l'air très intéressant, et les modes de présentation ont l'air en effet plus variés qu'à la Vallée. Néanmoins, je ne vois pas bien l'intérêt de présenter des espèces autres que des primates lorsqu'il n'y a pas de cohabitations, et surtout quand il ne s'agit pas d'espèces menacées. Mais ne boudons pas notre plaisir, ce parc a quand même l'air très bien pensé. La conception de l'installation des orangs-outans a l'air très réfléchie.
Ce parc a l'air très intéressant, et les modes de présentation ont l'air en effet plus variés qu'à la Vallée. Néanmoins, je ne vois pas bien l'intérêt de présenter des espèces autres que des primates lorsqu'il n'y a pas de cohabitations, et surtout quand il ne s'agit pas d'espèces menacées. Mais ne boudons pas notre plaisir, ce parc a quand même l'air très bien pensé. La conception de l'installation des orangs-outans a l'air très réfléchie.
- abel
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