Ouvert en 1949 et rénové en 1998, le parc zoologique d’Amiens est un jolie petit parc où les enclos sont assez bien aménagé est de bonne taille. Près de 350 animaux de 60 espèces vivent actuellement au et représente tout les continents. On rencontre de nombreux panneaux pédagogiques tout au long de la visite, malheureusement j’ai oublié dans pendre en photos.
Des espèces assez rares comme les loups à crinière (Chrysocion brachyurus) et la présence de pandas roux (Ailurus fulgens) renforcent la collection.
Horaires :
D'avril à septembre :
Du lundi au samedi
de 10 h à 18 h
Dimanche et jours fériés
de 10h à 19h
D'octobre à mars :
Les mercredis, samedis et dimanches
de 14 h à 17 h
Durant les vacances scolaires :
Tous les jours de 10h à 17h
Tarif :
Adulte à partir de 16 ans 5,00 €
Jeune (de 5 ans à 17 ans révolus) 3,00 €
Enfant (- de 5 ans) accompagné d'un adulte ou d'un jeune de Gratuit
10 ans révolus.
1/2 Famille (1 adulte, 1 jeune) 5,50€
Famille (2 adultes, 2 jeunes) 8,00€
Étudiant / Lycéen (sur présentation de la carte ad hoc en cours de validité) 3,00€
Demandeur d’emploi, CES, E.J., RMI, appelé 2,00€
1/2 tarif animation (occasionnel) 2,00€
Commençons le compte rendu :
Pour accéder au parc il faut prendre l’allée du zoo, un chemin bien aménagé pour piéton à côté d’un étang. Lorsque l’on rentre réellement dans l’enceinte du zoo, on se trouve sur une petite passerelle. En continuant on se trouve à côté de deux volière pour oiseaux exotique avant de rentrer dans la boutique pour souvenirs ou se situe la caisse. Après avoir payé on se trouve devant l’île des gibbons lar (Hylobates lar). Cet île est le lieu de vie de trois individu deux adultes et de visiblement leur petit. Cette île est bien aménagée avec quelques agrès que les gibbon on l’air d’apprécier.

L’île

Un gibbon très actif ^^
Ensuite en faisant le tout de l’île vers la droite on tombe sur un point de vue sur un cour qui est le lieu de vie des ibis et des cigognes blanches, les deux impossibles a photographié.
En continuant un peu on tombe sur l’île à côté de celle des gibbons, c’est le lieu de vie des varis roux (Varecia variegata rubra) qui sont rarement visible car ils ont un axés direct à leur maison intérieur par un souterrain. J’ai pu compté 3 individus.

L’île et ses occupants
Ensuite en continuant de quelques pas a notre droite un pont s’offre à nous, en l’empruntant on aperçois la maison des éléphants et leur enclos mais à gauche, on trouve une sorte de « plaine sud américaine » qui est traversée par un cour d’eau à une de ses extrémités où j’ai pu observé que les cabiais ou capybaras (Hydrochaeris hydrochaeris) aimé trempé leurs pattes. Ces trois rongeurs sont accompagnés de trois tapirs terrestres (tapirus terrestris), ces deux espèces vivent en bonne entende dans un grand enclos ombragé.

Une partie de la plaine et leurs abris.

Cabiais les pied dans l’eau

Groupe de tapirs
Ensuite, on peu rentrer dans la maison des éléphants deux boxes de nuit assez grands. Je reviendrais dessus quand je parlerai des soins des éléphants le soir à 17h00. En ressortant de ce bâtiment par la même qu e l’on ai rentré on revois l’enclos des tapirs et des cabiais, on le longe et on peut monter le long du bâtiment pour avoir un point de vue sur l’enclos des éléphants asiatiques (Elephas maximus) Il est assez beau et il est adapté pour ces gros animaux, il est agrémenté d’une cascade et de nombreux tronc d’arbres. Une des éléphantes Praja est atteinte de stéréotypes depuis plusieurs années, un soigneur m’a dit qu’elle était déjà comme ça dans sont ancien zoo, au début il arrivé à lutter contre ça en leur proposant des branches mais maintenant elle a compris la ruse.


Praja dans la partie à gauche du bâtiment.

Jana dans la partie a gauche du bâtiment entrain de manger de la paille au sol

La cascade dans la partie à droite du bâtiment où les éléphants ne vont presque pas, je n’ai vu que Jana au moment de rentrer car c’est sa porte. ^^
Ensuite en redescendant du « point de vue », on trouve l’enclos des pandas roux ( Ailurus fulgens ), la végétation y est luxuriante et l’observation des deux individus est difficile, ils sont souvent dans le grand saule pleureur et ne redescende que pour manger leur bambou cueilli dans le parc .

Maître panda dan son arbre perché avait très sommeil, il eu fallu que son soigneur lui amène des vives pour qu’il soit descendu.

Les pandas roux entrain de manger.
Ensuite le chemin est bouché, il est indiqué sur le plan que c’est le lieu du projet des « parcs à félins », le chemin doit donc être boucher pour cause de travaux.
Fin de la première partie pour que cela soit moins long à charger, la suite très prochainement …